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Les députés ont également voté plusieurs amendements qui ouvrent les écoles et les établissements sur leur environnement. "Dans les zones d’éducation prioritaire, les conseils d’école-collège associent les acteurs de la politique de la ville". Le code de l’éducation prévoit déjà que "les établissements scolaires organisent des contacts et des échanges avec leur environnement économique, culturel et social". Un amendement ajoute "particulièrement dans les zones d’éducation prioritaire".
Les collèges et les lycées pourront être ouverts en dehors du temps scolaire "aux citoyens, notamment dans des objectifs d’intérêt général", qui peuvent concerner la formation continue, et impliquer l’intervention d’entreprises ou d’organismes de formation continue, mais aussi être ouverts "à l’éducation populaire, à la vie citoyenne et aux pratiques culturelles et artistiques".
Extrait de touteduc.fr du 18..03.13 : Refondation. Le nouveau visage de la loi après les amendements
La commission avait donné aux parents un droit de décision sur le parcours d’orientation des élèves. Dans sa rédaction finale, l’Assemblée est revenue sur ce droit et, pour des raisons techniques, a remplacé le texte par une nouvelle rédaction qui escamote les parents...
Extrait de cafepedagogique.net du 18.03.13 : Orientation : L’Assemblée rééquilibre au détriment des droits des parents
Dans le cadre des débats sur la loi de refondation de l’école qui se sont achevés samedi à l’Assemblée nationale, la loi Cherpion, mise en place par le précédent gouvernement en 2011, autorisant l’apprentissage pour les jeunes à partir de 14 ans, a été abrogée.
La droite a bien entendu fustigé cette mesure : l’UMP dénonce la "vision idéologique d’un collège unique", qui pousse à supprimer un dispositif qui marche.
Plus étonnant, la réaction de Ségolène Royal, qui, rapporte Le Figaro aujourd’hui, a posté un tweet critiquant vertement cette abrogation de la loi Cherpion. Elle blâme la "regrettable suppression du droit pour des jeunes de 14 à 15 ans de se former par alternance" et une "idéologie dépassée, vu la gravité de l’échec scolaire".
Extrait de vousnousils.fr du 18.03.13 : Dissension autour de la suppression de l’apprentissage précoce
C’est un des points de divergence marqué dans le débat sur la loi de refondation. La droite défend les dispositifs d’enseignement en alternance dès la 4ème comme le DIMA. V Peillon fait passer leur suppression et défend l’idée du collège unique "mais pas uniforme". Tout en souplesse...
Le DIMA est supprimé sans que pour autant le ministre apparaisse comme un défenseur d’un collège unique contesté y compris dans le monde enseignant.
Extrait de cafepedagogique.net du 18.03.13 : L’Assemblée enterre le DIMA