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La "réussite éducative" ne correspond plus à une attribution ministérielle. Les 9 thématiques du précédent ministère délégué (site du MEN, mise à jour avril 2014)

9 avril 2014

La fonction exercée depuis 2012 par George Pau-Langevin n’a pas été renouvelée.
On trouvera ci-dessous la liste des 9 "paramètres" de la réussite éducative tells qu’ils apparaissent encore sur le site du MEN.

 

Le champ d’action de la réussite éducative englobe un certain nombre de paramètres décisifs pour favoriser la mise en place des meilleures conditions aboutissant à la réussite de tous les parcours scolaires.

La relation École/famille
La prévention et la lutte contre l’illettrisme
La lutte contre les discriminations : focus sur l’égalité filles-garçons dans le système éducatif
L’absentéisme et la persévérance scolaire
Le handicap
L’innovation dans le système scolaire
La vie lycéenne
La santé
La culture pour la réussite éducative

Extrait de education.gouv.fr (mise à jour avril 2014) : Les thématiques de la réussite éducative

 

Note du Quotidien des ZEP :
La plupart de ces "paramètres" du champ d’action de l’ex-ministre déléguée Georges Pau-Langevin relèvent plutôt de la rubrique "Vie scolaire".
Mais, par commodité, le site de l’OZP a dès le départ classé les informations générales sur ce concept flou dans la rubrique "Programme de réussite éducative" (PRE), bien que ce dispositif créé par la Loi de cohésion sociale (2004) ait relevé directement du ministère de la Ville.
les documents qui concernent plus précisément un de ces 9 thématiques sont classées dans la rubrique correspondante : décrochage, parents, santé, innovation...

Voir la rubrique "PRE et réussite éducative"

Voir le mot-clé "PRE et réussite éducative"

 

La relation École/famille
La refondation de l’École ne pourra se faire sans les parents
La relation École-famille est une thématique forte du ministère de la réussite éducative, elle apparaît dans plusieurs politiques menées : illettrisme, lutte contre l’absentéisme et le décrochage scolaire. Elle est également au cœur de la refondation de l’École avec la création des espaces parents dans chaque école et établissement scolaire. L’une des missions de l’École étant l’accompagnement des familles, cet espace est un endroit qui doit permettre la rencontre des équipes éducatives et des parents d’élèves mais aussi entre parents. La politique de réussite éducative en matière de coopération avec les parents se traduit également par la mise en place dès cette rentrée 2013 de l’expérimentation du choix de la voie d’orientation par les parents en fin de troisième. Cette expérimentation s’appuie sur l’implication des personnels de l’éducation et des parents autour du projet scolaire de l’élève.

Une circulaire interministérielle sur le renforcement de la coopération entre l’École et les familles a été publiée le 17 octobre 2013, jour du refus de la misère. Celle-ci fait suite aux conclusions de la conférence nationale de lutte contre la pauvreté et l’exclusion initiée par le premier ministre.
En savoir plus sur la relation École/famille

 

La prévention et la lutte contre l’illettrisme
Nouer une relation de confiance avec les parents permet de repérer plus rapidement les situations familiales d’illettrisme et d’échec scolaire

C’est le rôle de l’éducation nationale de prévenir l’illettrisme, en ce sens où il s’agit d’une des missions principales de l’éducation nationale de transmettre et de consolider les savoirs. C’est pourquoi la refondation de l’École et la lutte contre l’échec scolaire constituent le pilier central de la prévention de l’illettrisme, notamment au travers des mesures suivantes : plus de maîtres que de classes ; priorité au primaire ; nouvelle formation initiale des enseignants ; création de 60 000 postes ; etc.

Néanmoins, pour certaines raisons, liées aux publics concernés, liées à l’absence de coordination des acteurs, une action spécifique doit être menée pour prévenir l’illettrisme. C’est là que la réussite éducative a un rôle à jouer.

En effet, la politique de réussite éducative participe à la lutte contre ce phénomène qui touche 7% des Français de par sa méthode puisqu’elle réunit plusieurs acteurs indispensables pour prévenir et lutter contre celui-ci : l’Agence nationale de lutte contre l’illettrisme(ANLCI), associations, collectivités locales, enseignants.

Avoir des parents en situation d’illettrisme est un facteur d’échec pour les élèves et d’éloignement de l’institution scolaire pour les parents. L’École est donc souvent le lieu de repérage de l’illettrisme, c’est pourquoi la communauté éducative est en première ligne pour ouvrir l’école aux parents, les accueillir et les orienter vers les structures adéquates.

Les actions éducatives familiales (AEF) seront développées au cours des prochaines années. Conduites en partenariat avec l’ANLCI, elles s’adressent aux parents en situation d’illettrisme ou de grande fragilité linguistique pour leur permettre de se rapprocher de l’écrit, d’acquérir des compétences de base et, ainsi, de participer activement à la réussite éducative de leurs enfants. Nouer une relation de confiance avec les parents permet de repérer plus rapidement les situations familiales d’illettrisme et d’échec scolaire.

En octobre un grand plan national sera présenté. Il répondra tant à la difficulté de ramener les parents atteints d’illettrisme vers l’École que sensibiliser la communauté éducative à cet enjeu afin de prévenir ce phénomène à l’intérieur de l’École.

En savoir plus sur la prévention et la lutte contre l’illettrisme

 

La lutte contre les discriminations : focus sur l’égalité filles-garçons dans le système éducatif

Aujourd’hui, tous les métiers sont mixtes, nous gagnons tous à ce qu’il y ait des femmes et des hommes dans tous les métiers, avoir un métier dit masculin n’est pas une manière de renoncer à sa féminité !

Un des combats de la politique de réussite éducative est la lutte contre les discriminations : la lutte contre le racisme et l’antisémitisme, la lutte contre l’homophobie et la promotion de l’égalité filles-garçons. Les discriminations sont un problème sociétal. C’est une lutte sur tous les terrains qu’il faut mener, à l’intérieur de l’École mais aussi à l’extérieur de l’institution.

Elles doivent être combattues dès le plus jeune âge afin de préserver la cohésion sociale et favoriser la réussite de chaque élève et citoyen.

Aujourd’hui, les disparités entre les sexes sont bien réelles. La réussite et l’échec scolaire d’une part, la réussite et l’échec en matière d’insertion professionnelle d’autre part, restent des phénomènes relativement sexués.

L’égalité filles-garçons dans le système éducatif est une priorité. Déconstruire les stéréotypes de la société est un des objectifs de l’institution scolaire et cela à tous les niveaux. La tâche est ardue puisque les représentations sociales s’inscrivent bien au-delà des murs des établissements. En effet, les milieux familial et professionnel peuvent être un facteur de reproduction des inégalités et des stéréotypes. Ainsi, l’École doit être un lieu d’éducation à la mixité où l’égalité filles-garçons doit être effective.
Le ministère de la réussite éducative et cinq autres ministères ont co-signé la convention interministérielle pour l’égalité filles-garçons dans le système éducatif.
Cette convention, qui a pour objectif de guider et de soutenir les actions de déconstruction des représentations sexuées jusqu’en 2018, s’articule autour de trois priorités :
acquérir et transmettre une culture de l’égalité entre les sexes
renforcer l’éducation au respect mutuel et à l’égalité entre les filles et les garçons, les femmes et les hommes s’engager pour une mixité plus forte des filières de formation et à tous les niveaux d’étude

Parmi les autres actions prévues dans le cadre de cette convention : la formation généralisée des cadres sur l’égalité filles-garçons, la prise en compte de l’égalité par le nouveau conseil supérieur des programmes ou encore l’aboutissement des groupes de travail lancés respectivement sur le programme "Abcd de l’égalité " et sur la mise en œuvre des séances d’éducation à la sexualité.

En savoir plus sur l’égalité des filles et des garçons

 

L’absentéisme et la persévérance scolaire

Nous avons tout un travail de vocabulaire à mener. Pourquoi ne pas parler de persévérance scolaire, comme les anglo-saxons, plutôt que de décrochage scolaire ?

Le phénomène du décrochage scolaire est un processus complexe et long, aux facteurs multiples. Il s’inscrit pleinement dans la cible de la politique de réussite éducative car il engage de multiples facteurs sociaux, économiques, culturels et personnels. La prévention est un axe fort de cette politique. Cela implique une veille active tout au long du parcours de l’élève.

De plus, il est un des enjeux de l’Éducation nationale puisque près de 140 000 jeunes quittent chaque année le système scolaire sans diplôme et sans qualification. L’objectif est de diviser par deux ce chiffre au cours de la mandature. C’est pourquoi le ministère travaille sur ce chantier. Parler de persévérance scolaire plutôt que de décrochage est une manière de repenser le phénomène et d’appréhender différemment le travail au sein même de l’établissement scolaire.

L’un des signes avant coureurs du décrochage scolaire est l’absence régulière de l’élève dans l’enceinte de la classe ou de l’établissement. Il touche aussi les élèves présents dans la classe mais qui ont décroché de l’intérieur : ne comprenant pas le sens de leur présence à l’école, ils se replient sur eux-mêmes. Ce phénomène est plus difficile à déceler encore.

Pour éviter que l’absentéisme soit le premier pas vers le décrochage, il faut pouvoir mobiliser rapidement les acteurs de l’éducation de l’enfant :
famille
enseignants
accompagnants
personnel médico-social présents dans l’école
etc.

La synergie de tous les acteurs est essentielle pour prévenir le plus tôt possible une situation qui devient complexe rapidement. Les mesures d’aide et de soutien aux parents doivent intervenir dès les premiers signaux d’absentéisme. Un dispositif sera mis en place pour une application dans tous les établissements à l’automne 2013.

En savoir plus sur la lutte contre le décrochage scolaire

 

Le handicap

Changer les regards sur le handicap à l’École et donner les moyens de réussir à tous les enfants : cet objectif concerne au premier chef les élèves en situation de handicap, pour qui les voies vers une scolarisation ordinaire ne sont pas toujours simples

En 2012, ce sont 227 000 élèves en situation de handicap qui ont été scolarisés en milieu ordinaire. Aujourd’hui, améliorer l’accueil, l’inclusion et les parcours de scolarisation à l’École sont les principaux axes de travail de la politique de réussite éducative.

Certains élèves en situation de handicap ont besoin d’un accompagnant afin d’être scolarisés en classe ordinaire. Ils sont ainsi plus de 70 500 à être accompagnés par un auxiliaire de vie scolaire chargé de l’accompagnement individualisé (AVS-I).
Cet accompagnement s’articule autour du projet personnalisé de scolarisation. Il s’appuie sur quatre types d’activités :
• accompagnement des élèves dans les actes de la vie quotidienne
• accompagnement des jeunes dans l’accès aux activités d’apprentissage
• accompagnement des élèves dans les activités de la vie sociale et relationnelle
• participation à la mise en œuvre et au suivi du projet personnalisé de scolarisation des élèves

À la rentrée 2012, 1 500 postes d’auxiliaires de vie scolaire chargés de l’accompagnement individualisé ont été créés afin de renforcer l’inclusion des élèves en milieu ordinaire.

Par ailleurs, les élèves en situation de handicap peuvent être scolarisés, en milieu ordinaire, en classes collectives au sein de CLIS (classe pour l’inclusion scolaire) dans le 1er degré, d’ULIS (unités localisées pour l’inclusion scolaire) dans le second degré et d’unités d’enseignement dans les structures médico-sociales. L’École offre ainsi une palette de structures adaptées à la spécificité du handicap de chacun des enfants et de leurs besoins.
Travailler à l’inclusion des enfants en situation de handicap à l’École permet ainsi d’œuvrer à la continuité du parcours de chaque jeune dans sa vie sociale et professionnelle future. L’inclusion à l’École est la condition de l’inclusion de chacun dans la société.

En 2013, à la suite du rapport Komitès sur la professionnalisation des auxiliaires de vie scolaire, le premier ministre a décidé que le ministère de l’éducation nationale proposerait un cdi aux AVS qui arriveront à la fin de leur 6e année de contrat à durée déterminée.
En tout, 28000 assistants d’éducation-auxiliaires de vie scolaire sont concernés par cette mesure qui permet la définition d’un vrai métier et met fin à une situation professionnelle précaire (CDD de 3 ans renouvelé une fois). Cela permet également la mise en place d’un travail sur la validation d’acquis d’expérience.
A la rentrée 2013, 350 nouveaux postes d’AVS-i sont crées, ainsi que 8000 contrats aidés recrutés.

L’inclusion de jeunes sourds en milieu scolaire est aussi un enjeu de la politique de réussite éducative. Les pôles d’accompagnement à la scolarisation des jeunes sourds (PASS) sont des dispositifs créés en 2010. Il en existe 32 en France.
Les parents ont la possibilité de choisir pour leurs enfants scolarisés le mode de communication qui leur sont enseignés : la communication bilingue (langue des signes et langue française écrite) et une communication en langue française uniquement (écrite et orale).
Les PASS ont vocation à prendre en compte la diversité des parcours en mutualisant les ressources de tous les partenaires pour permettre une scolarisation respectueuse des besoins particuliers des jeunes sourds.
La loi d’orientation et de programmation pour la refondation de l’École renforce l’engagement de l’Etat de prendre en compte le choix linguistique des familles, de rendre plus visible les projets linguistiques, et veiller à un maillage territorial cohérent avec les services et établissements médicaux-sociaux.

10 294 enfants avec troubles auditifs

Ces enfants sont scolarisés dans le premier et second degré public et privé. 7520 élèves sont scolarisés dans les écoles et établissements gérés par l’éducation nationale, 2774 le sont dans des unités d’enseignements d’établissements médicaux-sociaux et sanitaires en scolarisation exclusive.

En savoir plus sur la scolarisation des élèves handicapés

 

L’innovation dans le système scolaire

L’innovation interroge les pratiques au sein de l’Éducation nationale, met en place des fonctionnements nouveaux capables de répondre aux défis de l’École d’aujourd’hui et de demain

L’innovation et l’expérimentation dans le système scolaire ont toute leur place dans le cadre de la refondation de l’École. De nombreuses initiatives innovantes sont mises en place dans les territoires et impliquent une multitude d’acteurs issus de l’Éducation nationale et aussi des associations. Voir et faire connaitre le travail parfois peu visible qui se fait dans les écoles est primordial : c’est le travail des pédagogies innovantes.

Les innovations résultent des forces vives, de réflexion au sein de l’Éducation nationale mais aussi en dehors. Elles permettent de mieux répondre aux besoins des enfants en utilisant des outils et des méthodes différentes.

Les politiques d’innovation locales sont un véritable levier pour lutter contre l’échec scolaire, contre le phénomène de décrochage scolaire et pour travailler sur la relation école-famille. Les initiatives innovantes sont appliquées sur un territoire donné et souvent ne dépassent pas le périmètre de l’école ou de la ville. L’enjeu est donc de les recenser, de les évaluer et de faire connaître ces bonnes pratiques
La politique de réussite éducative a pour mission d’encourager ce qui se fait sur le terrain afin d’élaborer les pratiques d’innovation à l’École.

Afin de donner une dynamique nouvelle à la création d’une politique publique de réussite éducative, le ministère délégué à la réussite éducative installe le conseil national de l’innovation pour la réussite éducative, présidé par Didier Lapeyronnie.

En savoir plus sur l’innovation, facteur clé pour construire l’école de demain

 

La vie lycéenne

La participation des lycéens dans la vie de leur établissement a 20 ans

Aujourd’hui, l’engagement des conseils de vie lycéenne et la prise en compte de la parole lycéenne dans les instances de l’établissement sont disparates d’un lycée à l’autre, d’une académie à une autre. C’est pourquoi relancer l’engagement lycéen est un devoir mais aussi une demande forte des élèves eux-mêmes. C’est à travers les "rendez-vous de la vie lycéenne" qu’un bilan, des actions, des propositions seront faites pour "un acte 2 de la vie lycéenne" afin de renforcer leur parole et leurs moyens d’action au sein de leur établissement.

La prise en compte de l’environnement, des difficultés des lycéens relève aussi de la politique de réussite éducative qui s’applique à tout âge et à toutes les étapes de la scolarité. Le développement de l’engagement citoyen à travers l’engagement lycéen est un axe fort de la réussite éducative. C’est pourquoi les semaines de l’engagement doivent mobiliser et sensibiliser les lycéens et la communauté éducative aux enjeux de la démocratie lycéenne.

Fin septembre, la commission d’orientation, présidée par Anne-Lise Dufour-Tonini a remis à la ministre déléguée un rapport qui fait le bilan de la vie lycéenne après avoir auditionné les principaux acteurs qui font la vie lycéenne. Après la remise du rapport, des consultations lycéennes ont lieu afin de faire remonter les propositions de terrain.

En savoir plus sur la vie lycéenne

 

La santé

Un bon état de santé physique et psychique est la condition du bien-être et de la réussite à l’École

La problématique de la santé est double. Elle s’articule d’une part autour de l’éducation à la santé et d’autre part autour du suivi médical des élèves.
Les problématiques de santé sont souvent un révélateur des inégalités entre élèves : inégalités sociales, sanitaires, affectives également.

L’éducation à la santé et le suivi de la santé des élèves sont déjà au cœur des missions de l’École, car cette dernière est le seul lieu qui accueille et voit grandir tous les enfants. Cependant, le traitement des questions de santé à l’École est encore perfectible. Deux axes de travail complémentaires sont déterminés :
travailler à une clarification des missions des personnels médico-sociaux à l’École afin qu’ils puissent mieux articuler leurs actions auprès des élèves travailler à la promotion du bien-être à l’École, parce que les difficultés psychiques sont souvent à l’origine du décrochage scolaire. Pour ce faire, il s’agit de mettre en œuvre une éducation à la santé renouvelée qui se donne pour ambition de placer l’élève en tant qu’acteur de sa propre santé.

L’éducation à la santé fait partie intégrante des programmes dès le premier degré. Elle s’inscrit dans le cadre du Comité d’éducation à la santé et à la citoyenneté (CESC) dans le second degré. Grossesse précoce, obésité, addiction, etc. sont des sujets qui demandent la mobilisation des professionnels ou du milieu associatif, qui connaissent les jeunes en dehors de leur statut d’élèves.
L’éducation à la sexualité, problématique complexe au cœur de la société, doit être une des missions éducatives de l’École. Elle nourrit l’ambition d’aborder des questions plus vastes et tout aussi constituantes de la société et de l’organisation sociale des adolescents : l’égalité filles-garçons, la lutte contre toutes les discriminations, celle d’une société apaisée entre les uns et les autres.

En savoir plus sur la santé des élèves

 

La culture pour la réussite éducative
Un projet artistique réussi dans une classe, c’est l’ensemble de l’établissement qui en profite

La politique de réussite éducative s’engage de manière différente pour amener la culture à l’École. La culture est parfois le reflet d’inégalités sociales importantes. C’est pour cela qu’il est indispensable de travailler à la mise en place de partenariat entre l’École et les lieux culturels et artistiques : centre culturel, musée, bibliothèque, théâtre, etc.

La culture à l’École est aussi une manière de considérer les métiers manuels autrement et de les valoriser. La culture, comme le sport, peut être un levier important pour qu’un enfant retrouve estime et confiance en soi et favorise ainsi sa réussite scolaire.

En savoir plus sur l’éducation artistique et culturelle

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