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Une étude du Haut Conseil à l’Egalité sur les inégalités hommes-femmes dans les quartiers défavorisés (additif juin 2014)

20 avril 2014

ADDITIF du 20.06/14
Combattre maintenant les inégalités sexuées, sociales et territoriales
dans les quartiers de la politique de la ville et les territoires ruraux fragilisés
Rapport n°2014-06-19-EGAliTER-012 publié le 19 juin 2014

Extrait de haut.conseil-egalite.gouv.fr du 19.06.20 : Combattre maintenant les inéglités

 

Haut conseil à l’Egalité Hommes-Femmes : Etudes du HCE/fr n002, Avril 2014
Etude n°02-2014-04-EGATER, en collaboration avec l’Observatoire national des zones urbaines sensibles (Onzus) et l’INSEE.

Extrait de haut-conseil-egalite.gouv.fr du 24.04.14 : Les chiffres clés des inégalités femmes-hommes dans les quartiers prioritaires et les territoires ruraux

 

Voir aussi : Economie et Statistique n°464-465-466 - Inégalités et discriminations : questions de mesure

Approches indirectes : la discrimination comme composante inexpliquée des inégalités - L’approche expérimentale : l’apport du testing - Approches subjectives : mesurer la discrimination ressentie

 

[...] Aucun territoire, aucun milieu social n’est épargné par les inégalités entre les hommes et les femmes. Mais ces inégalités, sources de discriminations, peuvent parfois s’aggraver, ou prendre des formes différentes, notamment dans les territoires fragilisés comme les zones urbaines sensibles. C’est cette approche territoriale qu’a choisie le HCEFH dans sa dernière étude parue ce jeudi. [...]

[...] Portrait de ZUS
Les "Zones urbaines sensibles", comme sont désormais désignés les quartiers les plus défavorisés, regroupent 4,4 millions d’habitants, soit 7% de la population française. Des quartiers plus jeunes, qui comptent plus d’immigrés (22% en ZUS contre 10% hors ZUS), et aussi plus de jeunes femmes entre 23 et 30 ans. L’âge moyen des femmes habitant en ZUS est de 32 ans, contre 39 ans hors ZUS. Dans ces quartiers, une famille sur quatre est une famille monoparentale (16% hors ZUS). 35 % de ces familles monoparentales vivent en dessous du seuil de pauvreté.

Extrait de lexpress.fr du 24.04.14 : Chômage, violence, les femmes trinquent encore plus dans les quartiers défavorisés

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