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Dans un communiqué titré "l’inacceptable disparition de la classe-passerelle au collège Jean Vilar", il [le conseiller général socialiste] écrit : "au moment où Fadela Amara (la secrétaire d’Etat à la politique de la ville) vient dans notre ville vanter son action, mieux vaudrait que le gouvernement ne sacrifie pas la réussite des jeunes en arrêtant ce dispositif. Je demande qu’il soit remis en place".
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Cette classe-passerelle fonctionnait depuis deux ans. Avec un effectif réduit et une pédagogie adaptée, elle prenait en charge les élèves arrivant en sixième avec de très grosses lacunes - le fameux noyau dur de 15% d’élèves sortant de CM2 sans avoir acquis les bases du français et du calcul.
Extrait de blogs.liberation.fr/soule du 29.08.10 : Fadela Amara passe : une classe trépasse