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En 1979 à Elsa Triolet, il y avait 1200 élèves. Aujourd’hui, il y en a 500. Ceux qui restent n’ont pas les moyens de partir. Environ 90% des élèves sont issus de milieu défavorisé. Je suis resté en ZEP pour plusieurs raisons.
Extrait de le progres.fr du 30.08.10 : Quand les meilleurs élèves s’en vont, ça renforce l’effet ghetto