En réponse à :
Le paradoxe est que si tous les candidats déclarent la main sur le cœur que l’éducation est un sujet essentiel, il est relativement peu traité dans les débats, moins qu’en 2012. Il faut dépasser les discours, les formules creuses sur les « fondamentaux » ou l’autorité pour aller plus dans le détail des dispositifs et trouver des différences.
Il y a des clivages qui sont assez traditionnels et où on retrouve l’opposition droite/gauche. C’est le cas des créations de postes. Mais d’autres (...)