En réponse à :
Être contre une réforme du collège, c’est pour certains, syndicalement ou pas, une seconde nature : réforme trop dure, trop molle, trop précipitée, pas adaptée, elle enlève ceci, elle rajoute cela, c’est horrible. Laissons-les dans cette posture.
Mais ce qu’on sent chez beaucoup d’enseignants réticents ou sceptiques, c’est surtout l’inquiétude devant la tâche proposée. Il s’agit moins d’une opposition à la réforme que d’un « comment ferons-nous ? ». Et cette question, il faut bien (...)