En réponse à :
Le Conseil national d’évaluation du système scolaire (Cnesco) s’est saisi de ces statistiques pour dresser, le 27 septembre, un tableau au vitriol du fonctionnement de notre école. Mais c’est Xavier Darcos qui, le premier en 2008, alors qu’il était ministre de l’éducation nationale, a invoqué le « choc PISA ». Puis Vincent Peillon en a fait, au début de ce quinquennat, le fil rouge de sa loi de « refondation ». Bref, les quatre fameuses lettres ont fini par résonner comme une référence (...)