En réponse à :
Donner la priorité à la maîtrise de la langue française, afin que les élèves puissent mettre en mots leur pensée, faire entendre leur voix et questionner celle des autres, tous les autres. Refuser de programmer l’échec et l’exclusion des enfants les plus fragiles, en mettant en place de vrais sas de transition aux moments névralgiques du cursus. Réconcilier spiritualité et laïcité, en faisant de la religion un sujet de réflexion dont on ose parler à l’école : les enfants doivent pouvoir se (...)