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Dans ses vingt propositions, la CPU a réaffirmé son attachement à l’absence de sélection à l’entrée à l’université. "C’est le corollaire de l’objectif de démocratisation, de justice sociale et d’élévation du niveau de qualification supérieure de notre population [...]"
Parmi les autres propositions de la CPU : les droits d’inscription. Ils doivent continuer à être fixés nationalement. [...]
Extrait de lemonde-educ.blog du 22.03.2012 :L’université grande absente de la campagne présidentielle
Sur l’aide sociale, il s’agit d’augmenter les aides aux étudiants et de les étendre à 50% d’entre eux, et surtout de "transformer la demi-part fiscale, qui favorise les hauts revenus, en crédit d’impôt formation supérieure" (CIF), "pour que les familles qui ne payent pas d’impôts puissent en bénéficier aussi".
La CPU fait ces propositions en précisant qu’elle s’inscrit dans le cadre du "modèle français", dans lequel l’enseignement supérieur et la recherche sont "un bien public", les personnels "ont principalement des statuts nationaux de fonctionnaires", "les droits d’inscription sont fixés nationalement" et où il n’y a "pas de sélection à l’entrée à l’université".
Extrait de vousnousils.fr du 22.03.12 : L’université n’est "pas au coeur de la campagne", regrette la Conférence des présidents