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Le Monde (édition abonnés, p. 11) daté du 25.10.12 publie un reportage sur "L’augmentation des demandes d’aide et la hausse des impayés" dans cette ville.
A la rentrée, c’est au service de la scolarité que les voyants ont viré au rouge : les remontées des inscriptions pour la cantine montrent une explosion des dossiers aux tarifs les plus bas, ceux à 50 centimes d’euros le repas. " Ça a commencé à basculer il y a deux ans et ça s’est aiguisé cet été ", raconte Gilles Poux. Pour le maire (PCF) de cette ville de banlieue.
La directrice de l’éducation déclare que "Certaines mères [...] mettent leur enfant à la cantine pour qu’il ait au moins un repas complet dans la journée. Même si elles savent qu’elles ne peuvent pas payer à la fin du mois ".