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n° 110 - février 2013
A quelles conditions cette réforme peut elle faire reculer l’échec scolaire ?
Aider les élèves dans ou hors de la classe ?
Compte rendu de la réunion publique du 6 février 2013
Le projet de refondation de l’école prévoit de donner la priorité à l’école (maternelle et élémentaire). Plutôt que de faire baisser le nombre moyen d’élèves par classe, les moyens supplémentaires permettront d’affecter « plus de maîtres que de classes dans les écoles « dans les territoires les plus en difficulté », ce qui concerne d’abord les territoires de l’éducation prioritaire.
Quel cahier des charges pour cette réforme ? A quelles conditions ces moyens peuvent-ils être des leviers d’une transformation pédagogique ? En particulier, comment éviter que ce maître supplémentaire ne soit cantonné dans un soutien à quelques élèves le plus souvent hors de la classe ?
Les trois principaux syndicats du premier degré - le SNUIPP (Pierre Garnier), le SGEN-CFDT (Michèle Zorman) et le SE-UNSA (Gilles Laurent) ont exposé leur conception lors de cette rencontre.
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Sur la photo de gauche à droite : Michèle Zorman, Marc Douaire, Pierre Garnier, Gilles Laurent