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L’étude "Perceptions et attentes des habitants des zones urbaines sensibles" commandée par le ministère de la ville à l’IFOP, ne dit pas autre chose : l’insécurité et la violence sont le "problème important" le plus cité (35 %) par les habitants des quartiers. Juste devant l’emploi.
Dernière surprise de l’étude : la très forte attente vis-à-vis de l’école. Pour 60 % des personnes interrogées, elle garantit l’égalité des chances. Seuls 39 % des Français le croient. Malgré cet optimisme affiché, le gouvernement n’en fait pas assez pour ses banlieues populaires : 71 % jugent que l’Etat ne leur consacre pas assez de moyens, quartiers rénovés ou pas.
Extrait de lemonde.fr du 28.06.13 : L’optimisme paradoxal des habitants des banlieues