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Tous compétents en français, Cahiers pédagogiques n°522

8 juin 2015

Tous compétents en français
Revue n°522 - juin 2015

Comment les apprentissages de la lecture, de l’écriture, de l’oral s’actualisent-ils dans nos classes et nos cours quand l’enseignement du français ne se fixe plus comme finalité la sélection (reproduction) des «  élites  » mais la réussite de tous les élèves, y compris les plus éloignés de l’univers de l’école ?

Dossier coordonné par Dominique Bucheton et Dominique Seghetchian

Lire-écrire-parler : une compétence transversale ?

Qu’est-ce qui en français traverse les disciplines, irrigue l’écrit et l’oral et nourrit un dialogue continu dans lequel les enseignants vont se retrouver, de la maternelle au lycée professionnel ?
Devenir familier de l’écrit

Et si écouter des opéras, lire, chercher des ruses d’orthographe ou participer à un concours littéraire aidaient à apprivoiser l’écriture ?

Projets, ateliers : pour que les élèves deviennent auteurs
Où se rencontrent des acteurs et des spectateurs, des enfants et des grands-mamans, des élèves et des ateliers d’écriture, des blessures et des mots, des lettres et du numérique

Changer de regard : vers des mutations nécessaires
Qu’est-ce qui doit se transformer, dans la transmission du langage, dans la relation entre la classe et la recherche, l’évaluation, le recours aux compétences et les inégalité d’accès à la langue

Dossier coordonné par Dominique Bucheton et Dominique Seghetchian

Le sommaire

Commande

 

Interview des coordonnatrices, Dominique Bucheton et Dominique Seghetchian

[...] D’après vous, quelles sont les grandes évolutions dans l’enseignement du français en primaire et secondaire ces dernières années et en quoi ce dossier les accompagne-t-il ?
Parmi les évolutions du français, la première que l’on retrouve dans le dossier rejoint ce que nous soulignions précédemment en relevant la place accordée à l’interdisciplinarité, aux projets ou aux partenariats.
Le français de l’école primaire et du collège n’est plus seulement le français de la littérature. Plus exactement, la littérature n’est plus le seul vecteur d’apprentissage du français. Langue de scolarisation, il concerne tous les apprentissages, les supports littéraires ne sont plus les supports exclusifs des apprentissages linguistiques. Ce fait, beaucoup plus évident à l’école primaire du fait de la polyvalence des enseignants, se développe au collège. Les usages littéraires sont devenus des usages parmi d’autres : on lit, on écrit, on parle aussi pour communiquer et pour apprendre.

Extrait de cahierspedagogiques.com du : La littérature n’est plus le seul vecteur d’apprentissage du Français

 

Un article en ligne : Une directrice d’école et coordonnatrice, issue du monde de l’entreprise, engage 195 élèves dans une démarche expérimentale en sciences appuyée sur des protocoles

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