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La réunion s’inscrit à l’aube du 30e anniversaire des zones d’éducation prioritaire (ZEP). Le concept a été inspiré par un rapport anglais préconisant des moyens supplémentaires aux écoles accueillant des enfants de milieux défavorisés. D’abord discuté dans les cercles pédagogiques, puis dans le monde syndical, « il est devenu un objectif politique, lorsqu’il est repris par le PS à la fin des années soixante-dix », rappelle Alain Bourgarel, instituteur retraité, militant des premières ZEP.
Extrait de leprogres.fr du 30.11.10 : Zone d’éducation prioritaire : trente ans et beaucoup de désillusions
Le bilan de cette politique est mitigé. Souvent, les moyens supplémentaires n’ont pas été toujours au service de véritables projets. Les liens entre politique de la ville et éducation prioritaire ne se sont pas vraiment tissés : on assiste à un empilement de dispositifs plutôt qu’à une synergie. Jusqu’à présent, les réorientations successives de l’éducation prioritaire n’ont pas vraiment fait l’objet de débats, ni d’évaluations réelles.
Extrait de leprogres.fr du 30.11.10 : Trop souvent un empilement de dispositifs