SOS LYCEES RURAUX EN DETRESSE
Nous avons besoin de faire connaître notre mouvement. Aidez-nous.
Mise en place du Collectif National des Lycées Ruraux
Cette année, dans l’Académie de Dijon, la carte scolaire mise au point par le Recteur a visé à démanteler dans les établissements ruraux (lycées et lycées professionnels) les filières technologiques, technique et professionnelle. Ce choix, qui ne tient aucun compte ni des objectifs du Projet Académique 2005-2009 (http://www.ac-dijon.fr/projetacad/p3.pdf), ni de la volonté des populations locales et de leurs élus, conduit à une fragilisation extrême de ces établissements par la réduction drastique de leur offre de formation et par conséquent de leurs effectifs.
Constatant le caractère systématique de cette stratégie dans la plupart des académies, les personnels et les parents du lycée de Clamecy (Nièvre), particulièrement touchés par ces mesures, ont souhaité être à l’origine d’un collectif des lycées ruraux qui leur permettrait de se faire entendre et d’opposer une résistance plus efficace. Un premier mouvement a déjà conduit à la réunion de représentants de plusieurs lycées de Bourgogne tandis que beaucoup d’autres manifestaient leur intérêt sur le blog ouvert à cette occasion : http://soslyceesruraux.hautetfort.com/.
Il s’agit maintenant de dépasser le cadre de la Bourgogne, de toucher d’autres régions et de tenir des assises nationales le 8 avril 2006 à Clamecy pour doter le collectif d’un statut officiel et élaborer une charte destinée à faire reconnaître la vocation spécifique des établissements ruraux et à obtenir des garanties pour pérenniser et conforter leur activité.
Pour toutes questions, vous pouvez nous joindre :
Adresse postale :
Collectif des Lycées ruraux
Lycée Romain Rolland - 7 rue Pablo Neruda
58500 CLAMECY
Adresse mail : collectifRR@yahoo.fr
Téléphone : 03 86 27 57 00 (demander Salle des Professeurs)
Merci de nous avoir lu.
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Cette année, dans l’Académie de Dijon, la carte scolaire mise au point par le Recteur a visé à démanteler dans les établissements ruraux (lycées et lycées professionnels) les filières technologiques, technique et professionnelle. Ce choix, qui ne tient aucun compte ni des objectifs du Projet Académique 2005-2009 (http://www.ac-dijon.fr/projetacad/p3.pdf), ni de la volonté des populations locales et de leurs élus, conduit à une fragilisation extrême de ces établissements par la réduction drastique de leur offre de formation et par conséquent de leurs effectifs.
Constatant le caractère systématique de cette stratégie dans la plupart des académies, les personnels et les parents du lycée de Clamecy (Nièvre), particulièrement touchés par ces mesures, ont souhaité être à l’origine d’un collectif des lycées ruraux qui leur permettrait de se faire entendre et d’opposer une résistance plus efficace. Un premier mouvement a déjà conduit à la réunion de représentants de plusieurs lycées de Bourgogne tandis que beaucoup d’autres manifestaient leur intérêt sur le blog ouvert à cette occasion : http://soslyceesruraux.hautetfort.com/.
Il s’agit maintenant de dépasser le cadre de la Bourgogne, de toucher d’autres régions et de tenir des assises nationales le 8 avril 2006 à Clamecy pour doter le collectif d’un statut officiel et élaborer une charte destinée à faire reconnaître la vocation spécifique des établissements ruraux et à obtenir des garanties pour pérenniser et conforter leur activité.
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Bonjour.
Je vous invite à me contacter dans ma boîte aux lettres télématique pour vous donner différents renseignements en réponse à votre question.
Déjà, je peux vous donner une indication : ANDEV
C’est un dossier de l’Association nationale des directeurs de l’éducation des villes de france qui a fait un remarquable travail sur ce sujet.
Amicalement,
AB
La forme de lutte qui est utilisée depuis janvier en Seine-Saint-Denis, les occupations de nuit, me semble nouvelle et intelligente. Voilà un moyen d’attirer l’attention des médias sur des problèmes graves sans que les élèves en pâtissent. Surtout que les heures de cours que ces élèves n’auraient pas eues en cas de grève classique, leur auraient été bien plus préjudiciables qu’à des élèves socialement favorisés. Chacun a pu mesurer l’immense retombée en termes d’échec scolaire des mouvements de 1998-1999.
Au lieu de demander au gouvernement d’interdire ces occupations (je ne sais d’ailleurs si cela est possible, les locaux du collège hors période scolaire étant sous la responsabilité du conseil général), Eric Raoult, le grossier et brutal maire de la commune bourgeoise du coin, ferait mieux, une fois de plus de se taire.
En donnant de leur temps personnel aux occupations du soir ou de nuit, les collègues des ZEP du 93 et les parents d’élèves ont enfin répondu à l’attente de nouvelles formes d’action et en on trouvé qui ne pénalise pas les élèves. Ceux-ci, au contraire, ont tout à attendre des résultats de l’action qui ne concerne pas des avantages corporatistes d’enseignants.
bonjour je suis étudiante en psychologie a lille 3 villeneuve d’ascq et j’aimerai savoir ou je peux me procurer de la documentation car les classes passerelles reste un sujet peu développé sur le net ou meme ds les bouquins
je suis interessée par le mouvement de la ville de roubaix
merci
Réponse à Marianne
Vous avez vu dans « Le monde » l’article et les graphiques de T.Piketty et vous avez vu un résultat extraordinaire : les inégalités diminuent de 45% ! C’est un contre sens, ce qui diminue c’est l’écart entre la moyenne des élèves de ZEP et la moyenne de l’ensemble des élèves : l’écart de 10 points sur 100 est ramené à 6 points.
Et maintenant, regardez le graphique (il n’apparaît qu’au bout de quelques secondes) en bas de mon article sur ce forum et vous verrez que la dispersion des performances est telle qu’une augmentation de 4 points sur 100 des performances des élèves de ZEP ne change pas grand chose aux inégalités. Pour répondre à la question, demandez vous si dans une école à 10 classes (avec 10 enseignants) de 22 élèves chacune le meilleur usage possible de 3 postes supplémentaires serait d’avoir 13 classes à 17 élèves ?
En préconisant une baisse massive des effectifs T.Piketty fait de la pédagogie et ce n’est effectivement pas de sa compétence.
F R Guillaume
F.R. Guillaume, en réponse à T. Piketty au sujet de la taille des classes, me semble dire que c’est le travail d’équipe qui permet les progrès les plus importants des élèves.
Je ne trouve pas que cette opposition entre effectifs et équipe soit pertinente, les deux facteurs me paraissant liés.
Le fait d’être dans une classe de 25 ou de 17 élèves n’a pas du tout le même effet sur la personne de l’enseignant en termes de fatigue, d’énervement , de disponibilité, d’efficience intellectuelle, d’envie de s’investir dans un travail d’équipe, d’envie de rester dans une école ou un établissement « prioritaire » certes (encore que certains s’amusent à le contester), mais où les situations sont en permanence complexes et exigeantes.
Faut-il ajouter que cela n’a pas non plus le même effet sur la personne de l’élève ?
Un raisonnement par exagération montre qu’effectifs humains et pédagogie n’ont pas à être opposés : dans une classe à plus de 40 élèves il doit être extrêmement difficile de ne pas fonctionner sur le modèle de la caserne et du déversoir, et dans une classe à moins de 10 élèves il serait aberrant de ne pas différencier sa pédagogie pour permettre à chacun de réussir.
Pascal B.
Si Piketty ne parle pas de pédagogie, de travail en équipe des enseignants, c’est que là n’est pas son objet (ni son domaine de compétence scientifique d’ailleurs, puisqu’il est économiste)
Il se borne à mettre en évidence une corrélation entre réduction de la taille des classes, et amélioration des performances scolaires des élèves en ZEP. Et quand je regarde le graphique qu’il publie, bien que n’étant pas statisticienne, j’ai quand même assez de souvenirs de mes études de géographie pour remarquer que la corrélation saute aux yeux.
Les idées de Piketty sur l’importance ou non de la pédagogie importent peu (je ne les connais pas, il faudrait lui demander). Certaines de ses propositions posent question : financer la baisse des effectifs par classe en ZEP par leur alourdissement, même minime, partout ailleurs, n’est-ce pas mettre plus en difficulté les élèves en échec qui ont la malchance d’être hors ZEP ?
Bref, il y a matière à débat, mais on ne va pas s’en plaindre ? Les remèdes à l’échec scolaire, s’ils étaient simples, auraient été trouvés depuis longtemps, et il est un peu lassant que le débat soit tantôt inexistant, tantôt binaire (les "pédagogistes" contre les "classiques", l’"innovation" contre les "moyens budgétaires", etc...).
Le mérite de Piketty, c’est de remettre sur la table le facteur "effectifs", longtemps écarté comme négligeable sur la base des publications les plus connues en France.
A l’occasion du premier article de Piketty l’an dernier, on a pu découvrir (en tout cas pour ma part ce fut une découverte !) que dans les pays anglo-saxons notamment, des travaux scientifiques de qualité portent depuis des années sur le problème de l’effet de la taille des classes sur les performances de élèves, que ces travaux fondés sur le suivi de cohortes massives sur plus de 10 ans débouchent sur des conclusions très explicites, et ont d’ailleurs conduit ici ou là les autorités à modifier leurs politiques en matière scolaire pour en tenir compte.
L’étude américaine "STAR" a ainsi démarré en 1985 dans le Tennessee, sur un panel de 11 000 élèves. Elle a inspiré un autre programme de recherche, anglais cette fois, réalisée par Peter Blatchford de l’Institute of Education de l’Université de Londres, portant également sur des cohortes massives. On trouvera sur http://www.ecoledemocratique.org un résumé en français de ces travaux par un chercheur belge, Nico Hirtt, qui vaut d’être lu.
Personnellement, j’en retiens que si les baisses drastiques d’effectif ont bien une efficacité, il serait temps de les mettre en oeuvre, ce qui n’interdit nullement d’impulser le travail en équipe ni de promouvoir des démarches pédagogiques innovantes. Bien au contraire, autant il est difficile de remettre en question les pratiques professionnelles archaïques sur lesquelles on se recroqueville quand les conditions de travail sont pénibles, notamment à cause d’effectifs surchargés, autant l’amélioration des conditions de travail crée des conditions facilitantes pour sortir de l’urgence et inventer collectivement autre chose.
Il est vrai que pour l’heure, si j’en juge par ce qui se profile l’an prochain dans mon collège EP1, il n’est question ni d’abaisser les effectifs par classe, ni d’intégrer la concertation dans les services des enseignants, donc on ne risque pas d’additionner les bénéfices, avérés ou supposés, de ces deux facteurs.
Chercheurs, praticiens, simples citoyens, continuons le débat, mais ne perdons pas de vue qu’il risque de se trouver rapidement sans objet, si la liquidation de l’éducation prioritaire engagée par Robien n’est pas stoppée....
Marianne
Pour connaitre Monsieur Dontenville, pour bien connaitre le Mirail,http://www.ozp.fr/smileys/lunettes.png
smiley pour connaitre le travail de la Ville de Brest (PEL) je trouve cette analyse très pertinente et apprécie encore une fois la rigueur du propos. Je trouve particulièrement intéressantes les propositions pour le travail à mener en maternelle et la place que le coordonnateur doit prendre au plan pédagogique.je reste sceptique sur le travail du Rased ! en revanche sur l’accompagnement à la scolarité et la prise en compte du temps social bien évidemment ! et plus encore mais cela est un autre ...projet !
Il y a à Toulouse, non plus le Mirail mais le GRAND MIRAIL soit 4 ZEP dans une même circonscription ! Que dire de ce choix ? Pourquoi un ghetto géant ? 4 collèges... et un évitement, non une fuite éperdue... Pourquoi cela a été accepté après le rapport de F.Dontenville ? S’il pouvait répondre comme il sait le faire, honnêtement.
Et une petite ZEP, EMPALOT ... en plein centre
à suivre !http://www.ozp.fr/smileys/sourire.png
smiley
si Monsieur Dontenville voulait bien venir faire l’évaluation avec l’OZP sur celle -ci , vous seriez les bienvenus...pour que ce quartier sorte de ZEP comme Alain SAVARY (Grand Ministre et grand commis de l’Etat) l’avait intelligemment prévu, ainsi que Moisan et Simon non ?
je pense pouvoir dire qu’il doit manquer à plus qu’une oreille !
Alors ,j’aimerai dire que je trouve cette initiative d’enseignement très belle : quelle chance ont ces élèves de Compiègne ! Apprendre par la musique ,c’est le rêve !
Et s’il est vrai que j’aimerai être sur de de ces bancs d’école, j’aimerai aussi que David vienne me, nous rebercer de ses rythmes doux, de sa voix rassurante...en français ou en anglais.Peu importe pourvu qu’il revienne !
Tout se focaliserait, semble-t-il, sur cette question de classes préparatoires. Certes, elle est importante, mais ce n’est pas tout !
Et même cette question ne peut se résoudre (hélas) aussi simplement que ce qui est rapporté ici des propos de P. Weil : en effet, l’entrée en Prépa est, elle aussi, hyper-sélective. Suivant les notes obtenues dans leur lycée d’origine (et la réputation de celui-ci), les élèves sont pris dans telle prépa et pas dans telle autre...
Il me semble qu’à ce propos, CPS et revenus du foyer où vit l’adolescent seraient, de loin, des critères plus pertinents. Une discrimination positive non fondée sur l’ethnie comme aux Etats-Uns, ni sur le territoire (en France depuis 1981), mais purement SOCIALE.
Quant aux autres niveaux, au cours de la scolarité secondaire en particulier, la création de véritables pôles d’excellence dans les collèges et lycées de ZEP permettrait un réel changement. Mais avec des filières en formation générale, des filières orientées "études (très) longues", et non "préparatoires à la pré-professionnalisation à 14 ans" !
Je suis maman de deux enfants (un en grande section et l’autre en CE1). Nous avons appris qu’à la rentrée 2006 l’école classée en zone ZEP et le quartier en zone ZUS, actuellement fréquentée par 97 élèves (+ 12 CLIS) répartis en 5 classes, allait faire l’objet d’une fermeture de classe.
Je remercie donc le Ministre de l’Education Nationale pour l’égalité de tous.
Je note avec étonnement que vous n’avez pas fait echo de l’article du Canard Enchaîné du même jour (8-02-2006) sur la première liste des collèges "Ambition réussite" du Ministère.
Des bons collèges estampillés UMP
La vraie priorité de Robien, c’est les copains d’abord...
Le 31 janvier dernier, l’Inspection académique de Seine-Saint-Denis convoquait 50 directeurs de collège du département pour une importante réunion. En fait, ces fonctionnaires ont eu droit à la visite surprise de Robien. But de l’opération : tenter de désamorcer la fronde qui n’a cessé d’enfler partout en France. Et en particulier dans le « neuf-trois », où les profs, très remontés contre la mise à la diète des ZEP, ont multiplié manifs et occupations des bahuts.
Car les critères retenus pour le nouveau plan ministériel d’éducation prioritaire (1 000 enseignants et 3 000 assistants pédagogiques réservés à un nombre limité de collèges) ne semblent pas tout à fait innocents. Les fameux collèges estampillés « Ambition-réussite » auraient-ils aussi l’« ambition » d’assurer la « réussite » des municipalités ou des circonscriptions UMP ?
Après examen de la liste des établissements retenus, la réponse est oui. A l’exception no¬table des deux académies de Lille et de Créteil (qui compte, entre autres, la Seine-Saint-Denis), les sélectionnés sont pour une très large part situés dans des fiefs de droite.
A la tête du client
On est à cent pour cent dans l’académie de Nancy-Metz. La ville de Nice, dirigée par Peyrat, transfuge du Front national, décroche le label pour 3 des 5 collèges de l’académie. La cité phocéenne fait presque aussi bien et rafle 18 des 22 bahuts à Aix-Marseille. Les collèges sortis du lot dans celles d’Amiens (le fief de Robien) et de Strasbourg sont aux trois quarts en terre UMP. Pour l’académie de Versailles, on descend aux deux tiers : Mantes-la-Jolie, où sévit l’équipe de l’ancien ministre Bédier, confisque la moitié des (futurs) moyens.
Et à des milliers de kilomètres de là, dans les DOM-TOM, même topo : 60 % des « Ambition-réussite » de Guyane sont situés sur des com¬munes UMP. Idem à la Réunion. Ces deux académies font un bond prodigieux, totalisant désormais autant d’établissements prioritaires que toute Île-de-France. En revanche, dans l’académie de Versailles, des départements entiers ont été oubliés, comme le Val-d’Oise (Sarcelles) ou les Hauts-de-Seine (Nanterre), "Personne ne comprend les choix qui sont faits", se désespère un jeune prof.
Illustration avec les résultats de l’évaluation d’entrée en sixième. "Le Canard", a pu mettre son bec dans le classement confidentiel des services académiques. Exemples : le collège Jean-Vilar à Grigny (mairie PS), dans l’Essonne, 417e sur 417, pas retenu ; les Pyramides à Evry (fief de Manuel Valls), 413e, non sélectionné ; Jean-Lurçat à Sarcelles (chez DSK), 412e, écarté, etc. Mieux, ce dernier établissement, classé ZEP, va perdre 80 heures de cours à la rentrée 2006. Et le cas n’est pas isolé.
« Le gouvernement choisit ses pauvres », persifle un syndicaliste enseignant. Reste encore une cinquantaine d’EP 1 (établissements prioritaires 1) à désigner. Le choix se fera à la discrétion des recteurs, « C’est la prime à qui râlera le plus. On va nous obliger à nous battre entre nous. Et le ministère aura l’air d’être à l’écoute », décrypte un élu.
Et pas besoin d’avoir la bosse des maths pour cette soustraction : il y avait 874 collèges en ZEP, il y aura au mieux 220 « Ambition-réussite ".
Et les 654 qui restent ?
Brigitte Rossigneux
UNE HONTE !!!!!!!!!!!!!
Le chèque emploi service.
Ce qu’il faut savoir c’est que ‘le larbin’ qui sera dans l’obligation de travailler dans ces conditions cotisera DES la première heure de travail.
Par contre, s’il ne travaille pas un certains nombre d’heures minimum, il ne pourra prétendre aux prestations pour les quelles il a cotisé.
Il aura cotisera pour dans le seul objectif de renflouer les caisses de l’état.
Ce que je constate : c’est toujours aux petites gens que nos responsables demandent de participer à l’effort de la SOLIDARITE NATIONALE.
Les petites gens crèvent de la SOLIDARITE NATIONALE.
Ne pourrait -on envisager d’exonérer de charges SALARIALES tous les salaires à hauteur des seuils de pauvreté et de faire participer un peu plus, par pure solidarité, les autres salaires (tranche B et C) par exemple
???????????????????????
Ce n’est que l’exploitation du quart monde par la Crème.
bonjour,
« il est tres difficile de réaliser un travail de concertation dans plusieurs disciplines tous les mois si dans l’emploi du temps rien n’est prévu. »
Je crois qu’une partie de la réponse est là :
« Evidemment cela suppose une organisation différente des emplois du temps des maitres, en ayant une vision collective des emplois du temps des équipes...et ça demande aux enseignants de revoir leur temps de présence dans leur établissement... »
et ici :
« Il me semble qu’il est tout à fait possible, une semaine par mois, de ne pas prévoir de copies à corriger, d’opter pour une préparation allégée et de bloquer une à deux heure pour se concerter... »
« Un prof ne travaille pas 18h ou 35h mais le temps qu’il faut pour effectuer son travail correctement. »
j’en suis convaincu... mais pourquoi tant de crispation sur les 18h alors... ? (cf propositions Thélot pour ne parler que des dernières suggestions sur l’organisation du temps de travail des enseignants du 2nd degré ???) Ce serait une manière de tordre le coup aux idées reçues sur le travail des enseignants, d’afficher, d’officialiser et de faire reconnaître un temps de travail autrement que par la demande de versement d’heures supplémentaires, ce qui pour le coup est réellement déplacé....
"Pourquoi est il si difficile pour un parent de rencontrer les enseignants de ses enfants lorsque ceux ci passent dans le second degré ?". Là je rigole ! Je n’ai jamais vu depuis 8 ans que je suis en zep, un seul parent venir se plaindre. Mais toutes les semaines de nombreux parents refusent de venir au collège rencontrer des profs.
Ne fallait-il pas plutôt lire : Qu’est ce qui fait que la relation parent-enseignant est rompu généralement au collège ? Qu’est ce qui fait qu’elle ne l’est pas -ou plus rarement- dans le premier degré...?
Concernant le plan, je me suis exprimé et partage votre opinion...au delà même....