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Avec pour décor un établissement difficile de la banlieue new-yorkaise, le long-métrage dénonce le manque d’efficacité du programme « No Child Left Behind » signé par Georges Washington Bush il y a dix ans de cela. Un gouvernement qui n’a tenu aucune de ses promesses, des parents désincarnés et étrangers aux problèmes scolaires de leur progéniture, des adolescents ineptes et odieux, un corps enseignant au bord de la crise de nerfs... Tony Kaye pose un regard désabusé sur les décombres d’un système éducatif inopérant.
Extrait de avoir-alire.com du 09.12.11 : Detachment. La critique
Un professeur débarque dans une ZEP new-yorkaise. Face aux sarcasmes et menaces de quelques cancres, il reste stoïque. Sa pédagogie est singulière, mais fonctionne (presque) à merveille. On s’y attendait. Mais on éprouve du plaisir face à un tel idéal de noblesse véhiculé par Tony Kaye.
Extrait de lexpress.fr du 02.02.12 : Avec beaucoup de tact, le réalisateur raconte l’école sans tomber dans l’angélisme.
Extrait de vousnousils.fr du 03.02.2012 :
Consulter aussi l’article du nouvelobs.com du 02.02.2012 : "Detachment" avec Adrian Brody : l’enseignement vu sous l’angle du simplisme benêt