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À présent que le busing ne dessert plus le quartier, les familles parlent de « situations intenables ». Pour les enfants, « qui, après un mois d’école, sont crevés », obligés qu’ils sont « de se lever à 6 heures du matin et d’attendre 18 heures pour rentrer chez eux ». « Dans ces conditions, ils n’ont plus la force de faire leurs devoirs », s’alarme une maman. Et aussi pour les parents, qui « galèrent » en cumulant « difficultés de déplacement, problèmes financiers et horaires de travail (...)