En réponse à :
Il y a donc sur le socle commun le même silence ministériel que sur l’éducation prioritaire, la même absence de pilotage. S’agit-il pour le ministre de laisser s’imposer dans le silence une conception rudimentaire limitant le socle aux"apprentissages fondamentaux, au "lire, écrire, compter" ? Alors que pour les enseiganants de l’éducation prioritaire, le socle, tel que décrit par les "Cahiers", est un repère dont ils ont besoin pour établir un diagnostic et élaborer un projet de zone ?