Cet ouvrage me semble devoir faire date.
J’approuve pleinement, au mot près, les leçons à tirer sous forme de conclusion à la page 121 de cet ouvrage.
iI me paraît incontournable que chacun, quel que soit son positionnement , accepte de remettre à plat son point de vue sur trois enjeux qui ressortent sous une nouvelle lumière par la lecture attentive de cette conclusion :
1) La pertinence de la LOLF à la lumière des paragraphes 1et 2 de cette page.
2) La pertinence du socle commun de connaissances et de compétences à la lumière des paragraphes 3 et 4.
3) La pertinence de la revendication "15+3", non pas seulement en terme de "confort" des enseignants , mais comme traduction des conditions nouvelles implicitement requises dans le 3ème paragraphe. Accessoirement l’adéquation du dispositif professeur "référent" avec "l’auto-évaluation socialisée dans le groupe de pairs".
4) La pertinence d’aller plus loin que le décret de 84 dans l’autonomie des établissements scolaire et de renforcer le "pilotage" des chefs d’établissement, à la lumière du 3ème et du dernier paragraphe (à la lumière aussi des précisions sur le contenu du concept d’autonomie telles que formulées de manière concordante ici etlà, valables pour tous les établissements publics, pas seulement le supérieur.
Je ne comprends pas la différence entre "pour une part égale à 50% de leur temps de service" et "s’ils ne travaillent qu’à mi-temps". Je suis coordo pour la quatrième année (mi-temps coordo+ mi-temps classe et suis rattachée à l’IEN sur ma fiche de paye, sur deux villes différentes). Je ne touche que 15 points d’indice et pas de poste fractionné (réponse de l’IA : quand je suis coordo je ne suis pas face aux élèves !). Y-a-t-il un texte officiel qui définisse clairement ces points d’indice ?
Les articles du dossier sont en ligne :
http://www.humanite.fr/2009-04-11_Societe_Fin-de-la-carte-scolaire-quels-degats
Ce livre, à la fois clair et complexe, supérieurement documenté, présente toutes les caractéristiques d’un ouvrage de référence sur les questions de l’école à deux ans et de la territorialisation éducative en France. Grâce à ce livre, j’ai vraiment beaucoup appris sur ces questions, bien problématisées et expliquées.
Bonjour,
Le compte rendu se trouve dans la rubrique "Comptes rendus des rencontres de l’OZP"
Cordialement
L’OZP
Bonjour...
Ce messae bien longtemps apès la rencontre du 23/01/08 sur " les effets scolaires de la grande pauvreté " pour savoir si un compte rendu la rencontre est disponible et ou ?
Merci d’avance.
Antoine d’Argenlieu
IUFM Amiens Beauvais UPJV
Brighelli a parfaitement raison. J’ai des élèves en soutien scolaire qui me disent (ils sont en 4e) : "ah ! bon, on met un s au pluriel ?"
Les élèves savent écrire, mais on ne leur apprend pas à faire un plan ordonné, enchainer leurs arguments, développer et structurer leur pensée.
Alors, oui, les programmes sont très complexes, les profs s’amusent bien, et ce sont bien les seuls
Je crois que vous êtes devenus fous à l’éducation nationale.
Pierre-Emmanuel Bonhomme
Bac mention Bien
Lauréat du concours général
DESS de gestion à Paris IX
Désolé !
Merci !
Cela a été corrigé par un ERRATUM dans la revue presse de ce matin.
Cordialement
L’OZP
Bonjour,
Je voulais simplement vous signaler que les Entretiens de l’Excellence auront lieu cette année le 11 avril et non pas le 16 avril comme indiqué par erreur dans votre titre en gras violet.
La liste date du 17 / 12 / 2003 ; c’est dans le nom du fichier ... La dernière mise à jour de la page Microsoft date d’Octobre 2004.
Effectivement cette liste est incomplète. Dans les 2 réseaux dont je m’occupe 50% des écoles sont sur la liste !! Les 2 collèges sont présents sur la liste (onglet collège). C’est dommage.
Accord étrange, c’est le monde à l’envers ! Par lequel en réalité le service public français s’engage à former des générations de jeunes à l’utilisation d’outils privés, en payant ces outils. Or le premier bénéficiaire n’en seront pas les enseignés, mais bien l’entreprise qui disposera ainsi d’une clientèle captive, déjà formée à l’utilisation de ces produits, qui sera donc, une fois en entreprise, elle-même prescriptrice de ses outils de travail.
Voilà un cas de figure où, dans d’autres domaines, c’est l’entreprise qui paye le formateur. Qu’est-ce qui justifie ici que ce soit le formateur qui rémunère l’entreprise bénéficiaire de l’effort de formation ?
Bonjour,
En recherchant sur le web sur le nom de la société GRICS, nous avons trouvé cette page qui présente le produit .
Cordialement
Le QdZ (Quotidien des ZEP)
bonjour
où et comment se procurer ce logiciel ?
merci de votre attention
Elizabeth Derôme
Merci pour votre message !
La note du QdZ va délibérément dans le même sens que ce que vous écrivez.
C’est parce que tous les personnels voulaient éviter toute impression de concurrence entre les différentes catégories qu’ils n’ont pas mis en avant auprès des journalistes le classement de l’établissement en RAR et la spécificité dans ces réseaux du statut des assistants pédagogiques.
C’était notre interprétation et nous pensons qu’elle rejoint tout à fait la vôtre.
Et si nous n’avons fait référence dans notre titre qu’aux seuls assistants pédagogiques, c’est que, parmi toutes les informations qu’il reçoit ou trouve, l’OZP ne retient toujours que celles qui concernent son champ spécifique d’intervention : l’éducation prioritaire.
Note : Sur la page d’accueil de notre site, on trouve d’ailleurs dans le menu de la colonne de gauche une rubrique spécialisée : "Le coin des référents et assistants pédagogiques.
Cordialement (à tous les personnels !)
l’OZP