En réponse à :
(...) De ses années de cité, M. Neuville retient que ses deux filles ont été au collège de la ZEP et sont devenues l’une chef d’agence Adecco, l’autre professeur de philosophie. " La preuve que l’on peut réussir dans les zones défavorisées." Il ne s’absente du quartier que pour le printemps et l’été. Il s’en va alors à la campagne dans un pavillon pour jardiner.
Extrait de lemonde.fr du 01.03.10 : Vies de France : Philippe Neuville, dentiste d’une "banlieue de province"