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Le fait que le lycée soit classé ZEP et zone sensible vous a-t-il influencé dans votre choix de suivre ce projet ?
Yann Kersalé : Je ne le savais pas ! Je n’étais pas du tout au courant. Pour moi il n’y a pas de différence. Mais je suis d’autant plus heureux d’être là si ces élèves n’ont pas le privilège de rencontrer beaucoup de monde… Du moment qu’ils sont heureux et motivés et fiers de cette histoire, pour moi c’est très touchant.
Extrait du blog.lemonde.fr du 21.06.11 : Yann Kersalé. un artiste au lycée professionnel
L’établissement inaugure l’installation qui illuminera désormais sa cour d’honneur : une œuvre pérenne réalisée par une classe de première professionnelle sous les auspices de l’artiste Yann Kersalé. C’est l’aboutissement d’une année de travail avec des lycéens réputés " difficiles ". Une manière aussi pour le lycée de faire oublier son allure de bunker et son image d’établissement violent héritée d’une décennie mouvementée des années 90 au début des années 2000.
Extrait de blog.lemonde.fr du 23.06.11 : Un lycée de ZEP de l’ombre à la lumière, ou les vertus d’un projet pédagogique en zone sensible
Notre blog Lycée électrique se termine avec l’inauguration du projet Kersalé (voir Un lycée de ZEP de l’ombre à la lumière). Mais jusqu’à la fin du mois de juin nous continuerons de publier ici, en bonus, quelques diaporamas : des morceaux du quotidien glanés dans ce lycée de banlieue parisienne que nous avons fréquenté chaque semaine pendant six mois.
Extrait de blog.lemonde.fr du 29.06.11 : Foot-couloir au lycée de Goussainville