Notre principal a refusé l’entrée en CLAIR du collège.
Cependant les rumeurs indiquent que l’entrée dans le dispositif sera rendue obligatoire.
Grand doute sur le maintien du réseau : fusion de 2 réseaux pour économiser un poste de coordo ?
Le site de l’éducation prioritaire est en reconstruction.
L’article mis en ligne par erreur était un test et en aucune façon la version définitive.
La situation est la même du côté des CRDP, qui sont en recul, sinon même peut-être en voie de disparition.
Les CRDP vivent d’abord grâce aux enseignants détachés. Les mesures de non remplacement (en cas de départ à la retraite) qui les frappent à terme, ou de retour programmé devant les élèves, accentuent le phénomène.
Concernant le signalement des actions, le fait que les pages des sites Innovation récupèrent souvent celles-ci a l’intérêt de mettre en valeur le rôle de laboratoire des établissements ZEP. mais on pourrait souhaiter que les titres des notices précisent, le cas échéant, qu’il s’agit d’établissements classés RAR ou RRS.
Je réponds à votre demande d’information sur le passage en ECLAIR, contenu dans la dernière lettre.
Je suis professeur référent dans l’académie d’Amiens ; tous les RAR de notre académie passent ECLAIR, l’annonce est officielle depuis lundi.
Bonjour
Grande incertitude en effet en ce qui concerne l’avenir proche des RAR
et RRS.
En ce qui nous concerne notre RAR (dans l’académie de Lyon), nous n’avons pas
d’info OFFICIELLE sur notre passage en (E)CLAIR qui se profile. On nous
maintient les moyens RAR (profs supp. car les heures sont dans la DHG,
mais qu’en est-il des assistants pédagogiques ?), et on nous demande de
déposer les demandes de financement des actions transversales (pour le
15 avril !!) alors que nous n’avons pas réécrit notre contrat d’objectif...
ça ne favorise ni la cohésion ni la motivation au sein réseau ....
votre dernière "Lettre de l’OZP" contient un constat de recul
considérable du nombre des sites consacrés à l’Éducation prioritaire
dans les académies. Vous vous intéresserez peut-être à quelques détails
de ce qui s’est passé à cet égard dans l’académie de Créteil.
En effet ce site n’est plus mis à jour depuis juin 2009. Néanmoins je
viens de constater à l’instant que le site officiel du rectorat, sur la
page consacrée à l’Éducation prioritaire -
http://www.ac-creteil.fr/equite-ep.html - , n’a pas encore supprimé le
lien qui pointe sur le site, et celui-ci continue donc d’exister.
En 1999 le CAREP de Créteil avait été créé par le recteur et il avait
confié au CRDP la réalisation du site. Deux emplois à mi-temps avaient
été créés : une documentaliste qui s’occupait des contenus, et un
webmestre. Un comité de pilotage très efficace avait accompagné pendant
les premières années notre travail.
Puis, dans une espèce d’indifférence
générale, et comme il n’y avait plus non plus d’IPR qui se sentait
concerné, le CRDP, à partir de l’année 2009/2010, n’a pas prolongé le
contrat de la documentaliste, mais a curieusement gardé le webmestre
pour un an encore. Mais celui-ci n’avait plus rien à mettre en ligne...
Pour être clair : la dynamique destructrice des équipes motivées en place dans les établissements ambition réussite est en route.
A force de s’entendre dire que si notre positionnement est contre Clair (contre toute la déreglementation qu’il implique...), nous devons muter , l’hémoragie de tout un personnel qualifié et formé à la réussite de nos élèves à la prochaine rentrée est assurée...
Quid de tous les projets mis en place en équipe qui ont cimenté le fonctionnement de notre collège et qui a permis de faire grimper les taux de réussite ? quid de tout le travail mené en partenariat avec le tissus associatif de quartier , avec les parents d’élèves ?
En quelques mois nous venons d’assister à une destruction en règle de tout un maillage mis en place par des educateurs motivés qui ont donné du temps sans compter et de l’énergie pour tenir le cap dans un quartier de plus en plus abandonné par la République et les valeurs qui sont les siennes.
Géraldine Comps- CPE collège ambition réussite- Nîmes
La fonction « télécharger cet article en pdf » n’existe pas sur notre site, mais vous pouvez imprimer notre article.
S’il s’agit de reproduire publiquement l’article du Journal de Saône-et-Loire, l’autorisation est à demander à ce journal, dont nous n’avons fait que citer des extraits,
Cordialement,
Le secrétariat
Est-il possible de télécharger votre article au format pdf ?
dentiste paris 15
Outre ses compétences dans le champ de l’assainissement de l’eau et son engagement au club 89, Mme Saa est aussi membre de l’UMP. Sa nomination est politique. Son action le sera aussi.
A quand des gens compétents pour traiter de réels problèmes ?
Cette présentation, anonyme, tendancieuse et surtout bourrée d’erreurs, de mon livre, me laisse sans voix !!!
1) Le titre n’est pas celui qui est donné mais plutôt : "Alors, on la fait cette Ecole pour Tous" ? petite histoire du clept, collège lycée élitaire pour tous". Nous nous battons contre l’élitisme !!!
2) Le Clept a fêté ses 10 ans en novembre 2010 !!!! et n’accueille donc pas d’élèves depuis 20 ans !
3) Nous dénonçons le méritocratisme !!! et il est affirmé dans cet article : "’que Marie-Cécile Bloch réaffirme l’ambition méritocratique du CLEPT"
4) Cet ouvrage ne se réduit absolument pas à une analyse d’entretiens d’anciens élèves mais revisite une grande partie de l’itinéraire d’une enseignante "obstinée"
Marie-Cécile Bloch
Votre message me laisse perplexe ...
Concernant l’accès à la hors-classe du corps des PE, le barême prévoit 1 point "pour les professeurs des écoles en fonction en zone d’éducation prioritaire et qui justifieront au 1er septembre de l’année d’avancement de 3 ans de services continus sur ce type de poste."
J’ai l’impression qu’on va tourner en rond ...
"Je touche la prime/indemnité donc j’ai le droit à 1 point" contre "Vous n’êtes pas en zone Zep, donc pas de point".
Comment la situation a-t-elle été gérée depuis le message du 24 février ?
Mon fils, âgé de 10 ans, est en CM1 dans une école d’Aubervilliers. Il est bon élève mais cependant, et depuis le début de sa scolarité, je rencontre de gros problèmes : en maternelle, nombreuses convocations par les instituteurs, en primaire, c’est la même chose. Je rencontre beaucoup de difficultés d’ordre familial dont je ne parlerai pas par pudeur, Aubervilliers est une grande ville et sincèrement je ne pense pas que 20 places en internat changera quoi que ce soit pour ces enfants en difficulté. Depuis le début de la scolarité de mon fils qui pourtant est très intelligent on ne m’a proposé une aide quelconque, sur quelle base a t-on recruté les enfants qui ont intégré cette classe ?, en tout cas, pour ma part je ne souhaite à tous ces parents que le meilleur.
certes le mot territoire réapparait, mais les concepts de "territoire education prioritaire" et de "territoire lycées" sont bien différents..et ne s’inscrivent pas dans la même logique. Il s’agit pour les lycées (la réflexion, poussée par la réduction des moyens, tend à être étendue au collèges)de mutualiser, d’élargir une offre sur un territoire "pertinent" terme qu’il faut comprendre en terme de distance/ déplacement acceptable des élèves.
cette logique de mutualisation relève sans doute du bon sens, de l’ « aménagement du territoire », de l’organisation d’un service public mais elle n’est pas à rapprocher me semble-t-il d’une logique « territoire éducation prioritaire » où il est question de continuité pédagogique inter-degré, de cohérence entre l’école et le hors l’école, d’adaptation au sens le plus noble et le plus profond du terme de l’école à un public particulier qui plus qu’un autre a besoin que l’on s’interroge sur les pratiques mises en oeuvre..
Quoiqu’il en soit ce texte relance l’idée que dans la réflexion actuelle autour de l’éducation prioritaire et la réorganisation/ réduction de la carte il est urgent de s’interroger sur ce qui dans l’expérience de l’éducation prioritaire pourrait avoir vocation à rejoindre le « droit commun » …entre réduction drastique de la carte avec disparition pur et simple des RRS accompagné d’un abandon des acquis sur bien des territoires, il y a sans doute une troisième voie : réduction de la carte et intégration dans « l’école ordinaire » des acquis de l’EP en terme de pratiques, d’organisation, de fonctionnement en réseau etc…
J’ajoute pour finir que je suis toujours un peu gênée par le parallèle établi entre la géographie de la politique de la ville et la géographie de l’éducation prioritaire qui doivent être en cohérence … certes, si cela signifie qu’elle doivent être repensée ensemble dans leur limitation et dans leur rapport avec le droit commun ; ces deux politiques ont le même défaut : une extension inconsidérée qui fait que dans certaines villes de province, mis à part le centre ville, tous les quartiers (à des niveaux certes différents) relèvent de la politique de la ville.
Bonjour,
Je suis co-enseignante en Isère (surnuméraire non spécialisée) depuis 3 ans, début de l’expérience chez nous ; nous sommes 33 actuellement.
Dans notre département, nous n’avons pas d’info particulière sur le devenir de nos postes (à court et/ou à long terme) ; mais la piste envisagée dans la Sarthe n’a pas été évoquée : pas encore ? Les décisions doivent être prises le 5 avril, au lendemain des cantonales...
En ce qui concerne l’idée des PEMF en remplacement des surnuméraires, toutes les questions sont ouvertes, effectivement.
Si d’autres enseignants surnuméraires peuvent porter témoignage de la situation dans leur département, cela nous aiderait peut-être tous à avoir une lecture "nationale" de cette expérience et de son devenir.
Christine