En réponse à :
Pour le reste, il faut bien l’avouer : il n’y a pas vraiment de différence, hormis dans le style, les accents mis sur telle ou telle mesure, la conviction pour en parler ...
Les deux "impétrants" ont ainsi tous évoqué à un moment ou à un autre, la nécessité de mettre plus de moyens sur le primaire et sur l’éducation prioritaire, deux secteurs actuellement sous-financés alors qu’ils sont clés pour lutter contre l’échec scolalire, sur leur volonté de revenir sur la semaine des quatre (...)