En réponse à :
[...] Mais le ministre avait pris soin de préciser : même si la réforme se fera à moyens constants, crise oblige, "il n’y aura pas de perdants". Les établissements ZEP actuels garderont leurs moyens. Leur nombre total - autour d’un millier - restera le même : si quelques-uns sortiront du dispositif parce que la population du quartier a évolué, s’est embourgeoisée, d’autres y rentreront. « Il y aura toujours un millier de REP, et on n’enlèvera de moyens à personne, avait assuré Vincent (...)