En réponse à :
Sans tomber dans le simplisme du « tout est la faute de 68 », la question soulevée dans cet article est d’abord celle des relations enfant-adultes, et d’abord parents.
On la retrouve aussi bien dans les milieux « favorisés » que dans les autres, même si elle revêt des aspects différents : le droit à la parole de l’enfant et le bannissement des châtiments corporels n’ont probablement pas été assez compris, expliqués et accompagnés. Il en résulte que nombre de familles se trouvent démunies face aux enfants qui, par nature, testent les limites que leur imposent les adultes.
Bien (...)