En réponse à :
Je suis tout à fait d’accord avec la prise de position de Didier BARGAS sur le redoublement.
Je doute que la majorité des acteurs de l’Instituton partagent son avis, et partant, qu’une suppression progressive et consensuelle soit réalisable en quelques années.
Qu’on le veuille ou non la décision de faire doubler un élève, même si l’on est convaincu que c’est avant tout pour son bien, a aujourd’hui une dimension de sanction : "il n’a pas progressé comme on attendait de lui qu’il le fasse, quel que soit son parcours scolaire vers la sortie des études, il devra y consacrer une (...)