En réponse à :
“Qu’on soit à 10.000 km ou à 500 km de Paris, on a les mêmes soucis. Nous, les chefs d’établissements, sommes dans une période difficile, dans une actualité de conflit. Chaque établissement se bat par rapport à des moyens en baisse. La particularité de La Réunion, c’est qu’il y a beaucoup d’emplois précaires, employés pour des besoins permanents, notamment dans les établissements du “réseau de réussite scolaire”. Je pense par exemple aux “médiateurs de réussite scolaire” : du jour au (...)