> III- INEGALITES : Mixité sociale, Pauvreté, Ethnicité, Laïcité... > Rural (Milieu) > ZEP rurales et ZEP urbaines : quelles différences ? Entretien avec Daniel (...)

Voir à gauche les mots-clés liés à cet article

ZEP rurales et ZEP urbaines : quelles différences ? Entretien avec Daniel Dalloz (Bulletin OZP, n° 5, octobre 1994).

27 octobre 1994

Bulletin de l’association OZP, n° 5, octobre 1994

 

ZEP RURALES ET ZEP URBAINES : QUELLES DIFERENCES ?

Entretien avec Daniel Lalloz, principal qui a connu les deux situations

Si l’OZP a souhaité commencer ce numéro centré sur les Zep rurales par un entretien avec vous qui êtes responsable de Zep urbaine, c’est que nous savions qu’avant de travailler ici vous aviez dirigé un collège en milieu rural fragile et enseigné en zone rurale défavorisée.
Cette double expérience nous permet de vous poser cette première question : y a-t-il des points communs entre Zep rurales et Zep urbaines ?

Daniel Lalloz : Il y a beaucoup de points communs, bien que l’aspect extérieur soit différent, car dans les deux cas une problématique de développement existe, dans des termes très proches. En zone rurale fragile, selon la définition de Jean-Paul Diry (voir l’article suivant), comme en Zep urbaine on n’a pas le choix : soit l’école et le collège participent à un développement local soit ils disparaissent.
Dans le premier cas il s’agit d’une disparition physique définitive et dans le second d’une dérive vers un lieu de rites formels d’enseignement inadaptés aux individus et inefficaces dans les apprentissages. Ce rapport nécessaire au local n’est pas dans la tradition de l’école, un changement doit donc s’opérer.

Que ce soit en zone rurale fragile ou en Zep urbaine, je vois heureusement des enseignants et des partenaires qui coopèrent de plus en plus. Les choses avancent doucement mais c’est sans doute plus solide ainsi. Je suis toujours réservé devant les grands projets de partenariat : entamons des coopérations locales et petit à petit formalisons-les dans des conventions qui seront plus un reflet de la réalité que les bases d’une vision idyllique à venir.

Les lecteurs de ce bulletin sont essentiellement des acteurs de Zep urbaines et voient ce qu’on entend par développement social de quartier, mais qu’est-ce qu’une problématique de développement en zone rurale fragile ?

Les zones rurales fragiles cumulent les caractéristiques défavorables tant sur le plan
le plan économique que sur le plan démographique. Sans rêver à un retour à des questions révolues, on peut soit laisser l’anémie se propager et, pour les établissements scolaires, céder au fatalisme, soit décider d’utiliser les potentialités locales : il faut bien qu’on sache qu’existe un fantastique patrimoine encore inconnu. C’est bien plus extraordinaire qu’on ne peut l’imaginer.

Le problème est que les gens de plus de quarante ans peuplant les campagnes et les montagnes n’ont pas reçu au cours de leur scolarité cette ouverture aux richesses culturelles qui existe maintenant à l’école et au collège.
Il y a donc encore beaucoup d’incompréhension. Quand on embraye une mécanique de développement, les ressources locales sont exploitées. L’école, alors, doit non seule-ment être dans le mouvement mais souvent être moteur. Sur ces hauts plateaux, à 1000 mètres d’altitude, où se trouve la collège d’où je viens, il y a 1000 ans de civilisation. Ailleurs ce sera peut-être encore beaucoup plus. Il faut savoir regarder et exploiter ces richesses et je ne parle que d’œuvres humaines, reste la nature...

La participation de l’école au développement local ne doit pas être imaginée seulement que comme la part scolaire à une entreprise locale généralisée, c’est d’abord un moyen pour l’école de trouver des appuis locaux pour son identité et les apprentissages.

Engagée dans un développement local, elle adopte une image, celle d’une institution moderne et active, tournée vers l’avenir : pas besoin de longs discours pour faire comprendre l’intérêt pédagogique de cette image quand on sait que l’autre terme de l’alternative est une école étiolée et fataliste devant un avenir de disparition. De plus, les apprentissages s’appuient sur le vécu des élèves et celui-ci s’enrichit par la participation à des actions de développement local. Des élèves de collège réalisant un « sentier de découverte » pour les habitants et les touristes acquièrent des connaissances et des compétences proprement scolaires : ce n’est pas, pour eux, d’abord, une participation à une entreprise de développement local.

A tort ou à raison, le milieu rural apparais aux citadins, aux acteurs de Zep urbaines entre autres, comme facilement réactionnaire. Vous qui avez coopéré avec les deux milieux qu’en pensez-vous ?

On a tort d’imaginer les maires et conseillers généraux incultes et non-diplômés. Ce n’est pas avec eux qu’on a du mal à faire comprendre l’importance de la scolarité, mais avec la population en général. Et cela évolue favorablement petit à petit.
Les élus de zones rurales ont l’avantage sur ceux des villes d’être plus libres vis-à-vis de leur parti politique. A la souplesse habituelle que j’avais connue dans la montagne, j’ai découvert en zone urbaine des habitudes beaucoup plus tranchées : voilà une différence entre Zep rurales et urbaines.

Cette différence entre élus se retrouve-t-elle chez les parents d’élèves ?

Non, la similitude entre situation de parents d’une Zup comme celle-ci et parents de zone rurale fragile, au-delà de différences connues comme la présence, ici, d’immigrés, est plus grande qu’on ne croit. Elle tient aux questions de lien social. C’est là, me semble-t-il, une explication décisive des difficultés auxquelles les enseignants des deux catégories de zones se heurtent : pas de motivation scolaire, donc d’efficacité pour l’école, si les parents sont isolés et se sentent exclus. Les formes d’exclusion sont différentes là-haut, dans la montagne, et ici, en banlieue, mais le rôle de l’école est de prendre en considération ce fait et de jouer l’interface entre les parents et le monde.

Ce jeu amènera un collège rural à organiser, par exemple, des séances d’information à destination des parents sur divers sujets, pas toujours reliés aux apprentissages des élèves. C’est le jeu d’interface social qu’il a à mener car personne d’autre ne le fera. En zone urbaine, ce seront d’autres types d’initiatives, plus centrées sur la scolarité des enfants, mais dont le but reste le même : tisser des liens avec des parents exclus du mouvement général.
L’accueil fait à ces initiatives, que ce soit avec les parents isolés dans des fermes de montagne ou avec des parents isolés dans leurs barres et tours de Zup, loin du centre-ville et sans moyens matériels, est extraordinaire. Bien plus que la prise d’informations, but annoncé, c’est la considération qui leur est ainsi donnée, l’occasion de rencontrer d’autres personnes, la possibilité d’ouvrir leur champ d’expérience, qui sont appréciées.

Comme pour la participation au développement du quartier ou de la zone rurale, ce travail mené par les établissements scolaires avec les individus est essentiel, aussi bien pour le tissu social local que pour permettre une scolarité efficace des élèves qui nous sont confiés.

Cette question des rapports avec les parents d’élèves est essentielle. Nous devons réussir. Et avec tous, car, si nous n’agissons pas, nous perdons au profit de l’école privée ceux dont avons particulièrement besoin pour conserver un relatif équilibre social.
C’est pourquoi, par exemple, en zone rurale, je couplais toujours les réunions « parents-professeurs » avec une exposition, soit venue de l’extérieur, soit réalisée dans le collège, afin de montrer, par ce moyen aussi, la qualité du collège.
Ici, en Zep urbaine, même objectif, moyens différents ; ainsi, je souhaite qu’une association d’anciens élèves se constitue pour faire connaître les réussites remarquables enregistrées depuis longtemps dans ce collège. Double cible : les parents susceptibles d’envoyer leurs enfants dans le privé (ce sont évidemment ceux qui sont les plus favorisés culturellement et nous en avons besoin) et les familles particulièrement éloignées de l’école qui peuvent avoir des exemples locaux de réussite.
Pour certaines de ces dernières, nous avons réalisé une visite guidée du collège à l’intention des parents turcs avec un interprète. Mais l’heure était mal choisie et il y eut peu de monde.

Le résultat a quand même été peut-être important dans la communauté turque si ceux qui sont venus étaient en lien avec les autres ... ?

Je ne le sais pas, et c’est là une autre différence entre les zones urbaines et rurales en difficulté : dans les secondes, on sait rapidement où sont les forces vives, les actifs, les décideurs.
En banlieue, les réseaux sont beaucoup plus complexes. Certes, pour les élus, les choses sont claires, mais pour les différents services sociaux, par exemple, c’est déjà très compliqué, et quand il s’agit de tracer un sociogramme des relations entre individus, la tâche devient rapidement impossible. Le temps nécessaire pour connaître « son monde » est donc ici beaucoup plus grand et le repérage des familles en rupture de lien social, celles pour qui nous avons une responsabilité plus grande, est plus difficile qu’en zone rurale.

Les enfants et adolescents de ce collège de banlieue se trouvent-ils affrontés aux mêmes difficultés que ceux de votre ancien collège de montagne ?

Ils ont des problèmes pour les apprentissages comme tous les élèves de tous les milieux et, comme partout, les enseignants s’y affrontent. Mais ceux des zones rurales se trouvent avec un avenir prévisible de mobilité alors qu’ils manquent spécialement d’ouvertures au monde, et ceux des Zep urbaines se trouvent avec des situations de vie intercommunautaires tendues alors qu’ils manquent particulièrement de repères identitaires.
Le collège, qu’il le veuille ou non, doit prendre en compte ces réalités sous peine de manquer d’efficacité dans son rôle de transmission de connaissances et compétences. C’est pourquoi on voit des collèges de zones rurales multiplier les ouvertures et ceux situés en Zup intégrer la vie du quartier dans ses préoccupations.

Les voyages scolaires, pour une Zep rurale, prennent une signification très différente de celle qu’on trouve d’habitude. Pas de tourisme, mais découverte de milieux différents, vus de l’intérieur. D’où le choix que j’avais fait d’aller à Birmingham avec la recherche de vie dans des familles sachant ce que veut dire « crise » en milieu industriel, pour des enfants qui savent ce veut dire ce mot en milieu rural.1

La « semaine de la tolérance » que nous préparons pour le printemps prochain prend OZP ici, en banlieue, une signification très différente de ce qu’elle pourrait avoir dans un milieu ordinaire où elle serait une action morale.
Il s’agit du « vivre ensemble » et d’un enjeu essentiel pour l’équilibre du quartier. L’initiative venant de la Zep, c’est l’image de l’école qui est en jeu, avec sa laïcité, sa tolérance, son respect des différences et la mise en valeur des ressemblances.

A cette occasion, des repères identitaires vont s’installer chez les élèves un peu « perdus ». Cette action thématique n’est pas facile à organiser dans le second degré où les habitudes disciplinaires sont fortes, mais les enseignants s’y mettent, alors que c’est plus naturel pour les écoles.

Nous ne pouvons, en zone rurale fragile ou en Zep urbaine, ignorer les défis lancés à nos élèves par la vie. Il ne s’agit pas de faire tout, à en oublier notre rôle premier pour la transmission des connaissances, mais de jouer ce rôle complètement. D’ailleurs, à ignorer la vie, les possibilités d’apprentissages se fragilisent, et en premier lieu pour les élèves en risque d’exclusion. Cette prise en compte se fait avec les partenaires locaux, élus en zone rurale, signataires du contrat de ville en zone urbaine.

On sait, ou on croit savoir, ce qu’est la pauvreté économique en banlieue. Quelle est-elle en zone rurale fragile ?

Les situations économiques difficiles sont sans doute aussi graves, même si on parle moins de celles des zones rurales. Mais les enfants se trouvent dans un environnement différent : en Zup ils sont beaucoup plus sollicités par les richesses ambiantes. A la campagne, on vit de peu, les enfants s’accommodent plus facilement de ce que leur donnent leurs parents.
Par ailleurs, quand l’école demande de l’argent, par exemple pour ce voyage en Angleterre, les parents de milieu rural font les sacrifices nécessaires si les choses ont bien été expliquées avant. C’est à tort qu’on croit qu’ils sont toujours réticents. Si cela est, c’est que l’explication n’a pas été suffisante.

En banlieue, la question est la même : en veillant à ce que les dépenses à engager soient raisonnables, on arrive à obtenir les apports financiers parentaux demandés.

N’y a-t-il pas alors d’obstacles culturels ?

Oui, en effet, en milieu immigré pour certaines filles. On voit une évolution positive, mais c’est parfois encore bien lent, voire bloqué. Pourtant, notre objectif affirmé est que tous les élèves, sans exceptions, participent à tous les voyages scolaires. Ces obstacles culturels se rencontrent aussi dans d’autres domaines.
Ainsi, nous avons organisé une soirée à l’intention des parents d’élèves avec le conservateur du musée local, après une visite d’élèves : certains parents avaient en effet estimé que cela avait été du temps perdu ! Il faut dire que nous avons la chance d’avoir depuis peu un musée d’une grande richesse à un kilomètre du collège. Son exploitation par les professeurs de six disciplines différentes allait de soi, pour nous, mais il a fallu l’expliquer.
Il me semble que les réticences culturelles aux ouvertures ne se trouvent qu’en zone urbaine : en zone rurale il y a adhésion de principe aux choix de l’école.

En revanche, en zone urbaine des facilités existent pour l’anglais, qui, en zone rurale fragile, reste complètement surréaliste. Ici, la vie urbaine, fut-ce par le seul hypermarché de la Zup, montre quotidiennement d’autres manières de parler, l’anglais en particulier. Pas dans les fermes isolées.

Encore un mot sur les pratiques culturelles en Zep : il m’apparais essentiel d’enseigner l’image, celle de la télévision en particulier, aux élèves de Zep. Car la télévision prend une part beaucoup plus grande chez les élèves de Zep rurales comme chez ceux de Zep urbaines. D’autres milieux ont des sollicitations culturelles plus variées. Or l’image s’apprend. Ce n’est pas une option momentanée pour un travail interdisciplinaire volontariste, mais ce doit être enseigné par des professeurs formés, dans le cadre de programmes définis. J’ai vu un professeur, correspondant audiovisuel de la MAFPEN, agir ainsi et je suis convaincu qu’un champ d’action est ouvert pour les zones difficiles urbaines ou rurales.

La pédagogie est-elle différente en Zep urbaine et en zone rurale ?

Ce n’est pas tant la pédagogie elle-même qui diffère, on enseigne ici, en zone urbaine comme comme zone rurale et comme partout ailleurs, mais dans les zones en difficulté, qu’elles soient rurales ou urbaines, on a, en plus, à travailler sur l’image de l’école dans la famille et sur la motivation des élèves. Il y a aussi des actions d’accompagnement scolaire à entreprendre.
En zone rurale, l’initiative vient de l’école et reçoit des soutiens extérieurs.
En zone urbaine, de multiples initiatives apparaissent de manière un peu désordonnées. Comme les publics et les besoins sont variés, il n’y a pas à supprimer, mais à ordonner, surtout à bien identifier ce qui se fait aux yeux des élèves. Ceux-ci doivent d’abord être aidés à recenser leurs besoins puis à trouver le type d’accompagnement possible, en sachant précisément qui organise et dans quelles conditions. Il est souhaitable que ces accompagnements, qu’ils soient internes ou externes au système scolaire, soient limités dans les objectifs, dans le temps et dans le nombre d’élèves concernés. Ces problèmes d’organisation ne se posent pas en zone rurale.

Ici, en banlieue, nous travaillons, pour l’interne, avec des professeurs et des appelés du contingent, et, pour l’externe, avec des associations dont l’AFEV, association d’étu-diants de l’université locale.

Comment les enseignants de Zep rurales et de Zep urbaines exercent-ils leur métier ? Voit-on des différences ?

Je constate d’abord une caractéristique commune : ils n’habitent pas, pour la plupart, sur place, tout au moins pour les professeurs de collèges. Cela me semble très regrettable car ils ont tous des activités culturelles, sportives ou autres, et ne les investissent pas naturellement dans le secteur scolaire.
Il y a des exceptions, heureusement. Mais il ne sert à rien de se lamenter sur ce point qui semble irréversible. Les zones ordinaires ont ce bénéfice et n’en ont pas conscience.

Autre point commun chez les enseignants, l’absence de représentations négatives vis-à-vis de la population. D’ailleurs, ceux qui ont de telles représentations le font involontairement sentir aux élèves qui, rapidement, leur font la vie difficile et ils quittent la Zep.<br< Il faut bien comprendre que la dimension relationnelle est décisive en Zep, rurale ou urbaine : les élèves sont beaucoup plus sensibles à l’attention qu’on leur porte. En milieu ordinaire, le regard du professeur importe moins, le tissu de relations sociales étant plus vaste

Ici, l’enjeu relationnel est essentiel. Nous avons eu la chance d’avoir des stagiaires IUFM qui ont senti cela immédiatement. Résultat, ils ont demandé à revenir à l’issue de leur formation et enseignent aujourd’hui ici. Des élèves arrivent en 6ème et semblent inéducables tant leur comportement est éloigné des règles du collège et cela malgré le travail fait en primaire. L’attitude des enseignants est alors capital. En zone rurale ou urbaine difficile, on trouve chaque année quelques élèves de ce type.
Trouver l’attitude à la fois souple et ferme qui amène ces élèves à constater l’intérêt de comportements différents est une obligation pour les enseignants de Zep.
En zone rurale, s’ajoute le problème des élèves qui n’ont connu de trois à onze ans que des groupes minuscules et qui se retrouvent dans un collège immense avec une foule anonyme. Les petits collèges ruraux, pour cette seule raison, se justifient tout à fait.

Pour enseigner en Zep rurale ou urbaine, les qualités demandées sont donc plus im-portantes qu’ailleurs : mêmes compétences disciplinaires et, en plus, compétences relationnelles étendues La formation continue peut y contribuer, mais il semble que c’est en amont, au moment de la formation initiale que se prépare ce métier, si la formation est ouverte aux activités pédagogiques transversales, aux pratiques relationnelles avec des enfants de milieux variés et aux réflexions sur ces pratiques.

Quelles conclusions portez-vous sur vos fonctions passée et actuelle ?

Etre principal de collège peut partout être passionnant. Cependant, les enjeux en zone rurale fragile ou en Zep de banlieue sont plus importants qu’ailleurs : le métier s’en ressent donc. Il doit ici être mené en équipe pédagogique, au plus près des élèves, en expliquant l’école aux parents et en travaillant continuellement avec des partenaires dans une problématique de développement local. L’attachement porté à ces fonctions dans la montagne ou dans cette Zup s’expliquent donc facilement.
Mon témoignage ne peut être automatiquement transféré à toutes les Zep rurales et à toutes les Zep urbaines, ce n’est que le parcours d’une personne...

... Mais des enseignements généraux pourront en être dégagés . Merci.

{}Propos recueillis par Alain Bourgarel

NOTE OZP (juin 2008) :
Lire la circulaire du 17.12.98 sur "L’avenir du système éducatif en milieu rural isolé" Enseignements élémentaire et secondaire)

&nbsp

Sur le même thème, voir la Rencontre OZP de mars 1994 sur la présentation de deux ZEP rurales

Documents joints

Répondre à cet article