En réponse à :
Quand j’enseignais en ZEP, je ne supportais pas d’entendre les profs parisiens se plaindre. Ces princesses au petit pois avaient dû, au pire, découvrir un trafic de craie en cinquième ou s’apercevoir que deux élèves de la classe n’avaient pas fait leurs devoirs. Comment osaient-ils geindre quand nous détenions le copyright de la souffrance, le monopole de la difficulté ?
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