Quel scandale (encore un) d’afficher que 12 élèves d’élémentaire prioritaire sont accompagnés éducativement par 1 enseignant ! Quelle réalité derrière ce magnifique "indicateur de réussite" ?? : Des tableaux remplis par les IA AVANT que les actions commencent, sur des déclarations d’intentions qui devaient FORCEMENT correspondre au nombre total d’heures HSE mises à disposition ....
Au fait, y a-t-il des départements où elles commencent à être payées ces heures (si elles sont consommées) ? Chez nous, l’IA a d’autres "priorités" et n’a pas le temps de concevoir le protocole de mise en paiement ! Et pendant ce temps, deux éducateurs rattachés au PRE supprimés, un RASED qui disparait et un délégué USEP sommé de reprendre la classe ??? !!!
Jeudi, toutes les écoles du RAR seront en Nuit des écoles ... avec soupe à l’oignon et thé à la menthe collectifs dès minuit !
Bonjour
je fais partie de ces " petits handicapés sociaux " scolarisés dans cette cité de transit et par la suite " éparpillée" dans les écoles dites " normales" je me souviens bien de ces ramassages de cars etc etc etc ...........
Malika BOUBEKEUR
Bonjour,
J’ai trouvé le texte dans l’asa
Il s’agit d’un décret
Voir le lien-ci-dessous
Anne,
Je suis secrétaire de comité exécutif depuis 3 ans, mais j’ai été coordinateur REP pendant 6 ans et animateur ZEP pendant 5 ans. L’entrée dans ce travail, cette mission... est toujours un peu longue. Le sentiment de solitude est quelque chose qui nous a toujours plus ou moins effleuré.
Concernant ta demande sur le DRE.
Ici à Montpellier, c’est la caisse des écoles de la ville de Montpellier qui porte le dispositif et qui est en relation avec la préfecture pour les financements. Pour ce faire il a fallu modifier les statuts de la caisse des écoles.
En ce qui concerne les procédures de prise en charge (C’est peut-être cela qui t’intéresse ? )comme indiquent les textes, ce sont les écoles et les collèges qui signalent et qui font des propopsitions.
C’est l’équipe pluridisciplinaire (Agence départementale, Inspection académique et le coordonnateur DRE ) qui valide la demande de prise en charge et qui en cas de validation positive transforme les propositions des écoles et établissements scolaires en préconisations.
C’est le coordonnateur DRE qui se retourne ensuite vers la structure, le dispositif, l’association qui lui semble être le ou la plus à même de prendre en charge l’enfant signalé.
Aujourd’hui après quasiment 3 ans et demi de réflexion et à peine une année pleine de fonctionnement, au local, nous voyons se profiler deux types de prise en charge, tout comme au national :
Une prise en charge dite "lourde" de type médico psycho social
Une plus"légère"(?) de type socio éducative
Si ça te permet de t’y retrouver tant mieux... si ça ne te suffit pas et si tu veux plus de précisions
Courriel à philipp. rocher@ac-montpellier.fr
Après plusieurs tentatives, je n’ai pas réussi à retrouver un texte du 21 mars 1995 relatif à l’Avantage Spécifique d’Ancienneté (A.S.A.).Ce texte est enregistré sous la référence 1995 - 313. Je ne sais pas s’il s’agit d’un décret, d’une circulaire.
Quelqu’un peut-il m’aider ?
bonjour, je tombe sur cet article et suis ravie de voir que l’on ne laisse pas tomber la banlieue, j’ai enseigné à Léon Blum et je me rappelle de certains vendredis après-midis où nous ne pouvions ni entrer dans le collège ni en sortir car nous étions "attaqués" par des bandes ennemies. Je garde de ces 7années beaucoup de souvenirs heureux même si les enfants avaient des conditions difficiles : bravo à ceux qui ont envie de les aider !
Le site de l’OZP a eu la bonne idée de mettre ce texte dans les archives de l’éducation prioritaire.
Je voudrais ajouter un mot à propos de son auteur, Gérard Suc : celui-ci a été le premier à se charger, de façon technique et pratique, de la question de l’évaluation des ZEP, au début des années 90.
Il a publié un "Guide de l’auto évaluation régulatrice des ZEP" à une époque où la conscience de faire au mieux pour sa ZEP suffisait à en justifier le travail. Il a ensuite organisé un stage national sur l’évaluation des ZEP, du côté du Mont Pilat, stage novateur qu’il a maîtrisé de façon remarquable.
Il est vrai qu’il a bénéficié d’une époque faste pour la conduite des ZEP dans l’académie de Lyon, sous la direction de Françoise Badinier, alors responsable académique des ZEP et avec le soutien d’universitaires comme Dominique Glasman alors à l’université de St-Etienne. Mais son travail local et académique a amené l’ensemble du dispositif prioritaire national à évoluer vers des pratiques d’évaluation alors inconnues dans l’éducation prioritaire.
HELLO,
Je regarde cette émission depuis peu sur France 5 (dans l’émission les maternelles) Je trouve cette aventure magnifique !
félicitations ! Je trouve dommage qu’il n y ait pas plus de référence de cette émission sur le net. j’ai passé pas mal de temps afin de trouver ne serait ce qu’un article parlant de ce périple !
MAGNIFIQUE !
Si je partage vos inquiétudes sur le non-pilotage, la non-formation, le non-encouragement, je suis surprise (mais peut être est ce juste une interprétation liée à la formulation) que vous vous sentiez non-autorisé à participer à cette journée. Le samedi est bien définitivement libéré de la contrainte Education Nationale ? En quoi se sentir privé de liberté individuelle sur ce temps là alors ? Le militantisme, car c’est bien de cela qu’il s’agit, est exactement l’œuvre qui unit le devoir et le vouloir. Et l’intérêt de l’association OZP, c’est de permettre le vouloir pour améliorer le devoir. Mais hélas, à Montpellier comme ailleurs sans doute, nos hiérarchies sont très adroites (et souvent à droite) pour nous dégouter de toute initiative personnelle dynamique. On pensera à vous dans nos échanges qui seront sans doutes aussi réconfortants qu’un doux rayon de soleil méditerranéen !
Bonjour,
je suis le coordonnateur nommé dans l’article de la Voix du Nord, que j’ai sollicité pour rédiger cet article, car bien peu de gens connaissent et reconnaissent le poste de coordonnateur REP ...
Ancien directeur d’école , je suis coordo à temps plein sur le RRS de Lallaing et le RRS de Pecquencourt. Bien que la situation me convienne totalement, force est de constater que l’éducation prioritaire dans l’académie de Lille n’a pas vraiment la cote. Je m’explique. Je n’ai reçu à ce jour aucune lettre de mission , l’absence de coordo l’année dernière pour de vagues histoires de pressions politiques et syndicales, fait qu’aucun contrat d’objectif n’est clairement rédigé à ce jour, l’abscence TOTALE de moyen matériel ( ni ordinateur, ni bureau , ni fourniture) fait que ma tâche de coordination n’est vraiment pas facilitée.
Je trouve dans ce site, pas mal de réconfort dans le fait qu’ici on parle des coordo !!!
Cordialement
Sylvain BOCQUET
Bonsoir ,
Je suis élève de ce collège et j’y suis depuis plus de 4 ans maintenant , je peux vous dire que la situation c’est nettement améliorée et vu que l’effectif du collège à diminuer ceci à entraîner le changement du collège .C’est vrai que quand on dit qu’on vient du collège alain nous sommes tout de suite mal vu ce qui est vraiment insupportable pour les bons élèves . Mais bon on s’y fait .
Je suis pleinement d’accord avec la priorité suivante rappelée dans ce rapport :
" 1. La stabilité des équipes : un enjeu crucial
Ceci nécessite une équipe pédagogique relativement unie et motivée. Dans cette perspective, la stabilité de l’équipe pédagogique est un enjeu majeur, or l’éducation prioritaire demeure peu attractive pour un certain nombre d’enseignants. Ainsi lors de la visite du collège Paul Eluard, sur 12 enseignants présents à la réunion, seuls 3 avaient eu une expérience avant d’être nommés dans l’établissement.
La stabilité des équipes enseignantes, et par conséquent le développement d’une culture professionnelle au sein des établissements, est une problématique essentielle des académies de Versailles et de Créteil, qui accueillent de nombreux jeunes enseignants pour quelques années.
A ce titre, M. Alain Boissinot, recteur de Versailles, a souligné les limites de la politique indemnitaire mise en place (bonification et mutation facilitée au bout de quelques années passées en établissements classés en éducation prioritaire). Ainsi certains « effets d’aubaine » ont pu être observés, les jeunes enseignants restant quatre ou cinq ans pour bénéficier de la bonification et décidant ensuite de changer d’établissement dès qu’une occasion pouvait se présenter.
Selon lui, la politique indemnitaire et les mesures individuelles ne garantissent pas à elles seules la stabilité : d’ailleurs l’initiative PEP 4 (postes à exigences particulières), qui avait permis en 2001, à titre expérimental, d’accorder aux enseignants d’une centaine de collèges difficiles d’Île-de- France une bonification spéciale, n’a pas eu le succès escompté en termes de stabilité.
Il estime qu’il serait ainsi opportun de développer les mesures visant à renforcer l’attractivité des postes proposés en établissements placés en éducation prioritaire.
Cette idée a été également exprimée par les enseignants rencontrés à Aulnay-sous-Bois. Ainsi, un enseignant d’éducation physique et sportive a expliqué que si sa nomination initialement résultait du hasard, sa présence aujourd’hui dans l’établissement procédait d’un choix personnel qui tenait en partie compte de l’ambiance et des conditions de travail. "
M ; Longuet devrait en toute logique tomber d’accord avec - pour mémoire- les propositions suivantes :
Je suis coordinatrice RRS et chargée de l’accueil de migrants.
Je suis en retraite en septembre .
Si les organismes ont besoin d’aide sous forme de bénévolat, mon adresse peut leur être transmise.
liliane.-blondin@laposte.net
PS : je me débrouille en anglais
Le gros problème, c’est qu’on n’envisage que de "répartir", bien ou moins bien, l’"excellence de l’enseignement" dans les territoires.
C’est se cantonner dans une logique de saupoudrage des enseignements d’excellence dans tel ou tel endroit.
Donc entériner l’idée qu’il est "normal" d’avoir selon les endroits un enseignement d’excellence, ou un enseignement de seconde zone.
Bref, l’enseignement à plusieurs vitesses, ça existe déjà, et on va continuer de plus belle.
Or c’est de cela que l’on crève !
Deux détails : outre que c’est fouler aux pieds l’égalité (après tout, ce n’est qu’un principe constitutionnel fondamental de la République...), c’est aussi renoncer à faire réussir réellement TOUS les élèves.
Actuellement le système éducatif "produit" des milliers de jeunes sortant sans qualification.
Soit on envisage sérieusement de réduire ce nombre, et il faut l’excellence partout, sur tout le territoire, pas sur "des" territoires.
Soit on saupoudre ostensiblement, en débattant gravement de la meilleure répartition du saupoudrage, tout en supprimant des postes en masse, et les sorties sans qualification n’ont pas fini de fleurir.
L’escroquerie intellectuelle Fadela Amara, ça commence à bien faire...
Marianne
Et bien l’ozp , dont je suis membre depuis le début prend note !!!!! prend acte ???? A verser au dossier du "coordo" ????du non -encouragement en 2008 à la "formation continue" non organisée ..par des services académiques et nationaux ..???. nous ne sommes qu’une modeste association ...
Une curiosité : quel est le motif invoqué pour la non- autorisation ( formelle ou informelle ?) Comment l’interprêtez-vous, VOUS ? en dehors du classique "pas de sous" (merci de la donner )
En tous cas, ces journées ont toujours été conçues comme des journées de travail, d’échanges, de rencontres et de débats entre enseignants ..chercheurs, enseignants-chercheurs += tous les autres statuts de l’EN ... voire la catégorie des "non EN" qui se sentent, comme on dit ,"concernés" par la question de l’éducation prioritaire et d’abord ou aussi et surtout des militants
Marie- Gabrielle PHILIPP
(membre asso AZP)