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ESENESR
– Le "climat scolaire" : facteur de risque et de protection
Lieu : ESEN - Conférence
Date : 4 octobre 2011
Durée : 1 h 13 min 14 sec
Il n’y a pas de cause unique à la violence en milieu scolaire, ni de fatalité sociale. Elle relève davantage du climat scolaire qui s’établit et d’un effet d’établissement. Voilà ce qui ressort de l’intervention d’Éric Debarbieux.
Lutter contre la violence scolaire est une affaire d’idéologie et de formation plus que de caméras de surveillance. On ne s’en sortira pas sans un effort collectif forcément long de prise de conscience et de mutation des pratiques pédagogiques. L’effort doit s’inscrire dans la durée.
Intervention lors du séminaire de formation au pilotage des politiques éducative, sociale, de santé et de sécurité dans les territoires académiques.
Éric DEBARBIEUX, professeur des universités, président de l’Observatoire international de la violence à l’école, président du Conseil scientifique des états généraux de la sécurité à l’école.
Note du QdZ : La 4ème page du diaporama s’intitule "Y-a-t-il une fatalité sociale" et donne la précision suivante sur la perception du climat par les personnels de direction : "Au niveau du climat scolaire les variables sociales sont explicatives : si la moyenne des réponses positives est de 73%, il n’en reste pas moins que ces réponses positives ne sont plus que de 59% en RAR et en ZUS tandis que plus de 80% des personnel de direction travaillant dans des collèges ruraux non classés décrivent un très bon climat scolaire."
La page suivante précise le point de vue des enseignants en ZUS.
Vidéo "enrichie" (chapitrage, diaporama synchronisé)
Documents :
– Éducation, bien-être et progrès social
Lieu : ESEN - Conférence
Date : 4 octobre 2011
Durée : 40 min 49 sec
Bernard Hugonnier, directeur adjoint de l’OCDE, compare, au sein des pays de l’OCDE et sur la base des enquêtes PISA de 2003, 2006 et 2009, les niveaux de ressenti de bien-être scolaire des élèves. Il en tire quelques enseignements et pistes d’amélioration pour notre pays.
Puis, après avoir insisté sur l’incidence du plaisir de lire sur la performance scolaire, il nous apporte des éléments sur la relation entre progrès social et éducation. Il conclut par le fait que le niveau général d’éducation pour une nation est un investissement qui s’avère des plus performants.
Intervention lors du séminaire de formation au pilotage des politiques éducative, sociale, de santé et de sécurité dans les territoires académiques.
Bernard HUGONNIER, directeur adjoint de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE)
Présentation
1. Éducation et bien-être
2. Éducation et progrès social
3. Un outil que l’OCDE met à disposition du public pour établir des comparaisons relatives au bien-être
Vidéo "enrichie" (chapitrage, diaporama synchronisé)
Extrait de l’ESEN le 04.01.2012 : Deux conférences : "Le "climat scolaire" : facteur de risque et de protection" et "Éducation, bien-être et progrès social"