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Ips : - un dossier du Parisien sur l’Ile-de-France - A Perpignan, deux écoles ont le taux le plus bas de la France métropolitaine (l’Indépendant)

14 novembre 2022

Additif du 28.11.22

Pyrénées-Orientales - Réseau d’éducation prioritaire : une vingtaine d’écoles élémentaires lésées ?
Selon le syndicat d’enseignants Snalc, les indices de position sociale par établissement que le ministère de l’Education a récemment publiés montrent qu’une vingtaine d’écoles élémentaires du département devraient soit intégrer le réseau d’éducation prioritaire (Rep), soit voir leur classement renforcé (Rep+). Ce qui leur permettrait d’obtenir des moyens supplémentaires pour compenser les inégalités.

Extrait de lindependant.fr du 27.11.22

 

Mixité sociale : dans les collèges de Paris, « le fossé social se creuse »
Les indices de position sociale (IPS) des collèges dévoilés par le ministère de l’Éducation nationale révèlent de fortes disparités. Malgré des expérimentations dans le nord-est parisien pour créer de la mixité, l’écart s’accroît entre le public et le privé, et pas seulement.
Paris. Parmi les cinquante collèges parisiens dont l’indice de position sociale est le plus élevé, quarante et un sont des établissements privés (illustration). LP/Yves Fossey
Paris. Parmi les cinquante collèges parisiens dont l’indice de position sociale est le plus élevé, quarante et un sont des établissements privés (illustration). LP/Yves Fossey

Notre dossier sur l’indice de position sociale des écoles et collèges
Ce sont des chiffres que l’Éducation nationale souhaitait garder secrets. Il aura fallu qu’un journaliste poursuive en justice le ministère pour que ce dernier se résigne le 12 octobre à publier les indices de position sociale (IPS) des écoles élémentaires et des collèges publics ou privés sous contrat. Un indice qui s’apparente à un nombre compris entre 38 et 179, qui permet d’évaluer la position sociale des élèves en fonction du diplôme de leurs parents, de leurs revenus, de leurs pratiques culturelles ou encore de leurs conditions de logement.

Que disent ces indicateurs inédits sur les inégalités scolaires des établissements d’Île-de-France ? Notre dossier spécial.

En Seine-Saint-Denis, le public en grande détresse
Dans le Val-de-Marne, les collégiens les plus favorisés privilégient le nord-est
Dans l’Oise, le choix du privé pour les collégiens les plus favorisés
Au collège franco-allemand de Buc, les élèves les plus favorisés de France
À Grigny, les difficultés scolaires vont de pair avec le contexte familial
Dans les collèges des Hauts-de-Seine, le public très concurrencé par le privé
La carte des réseaux d’éducation prioritaire du Val-d’Oise à revoir ?
Seine-et-Marne : des disparités sociales toujours plus grandes

Boulevard Barbès, dans le XVIIIe arrondissement. À quelques dizaines de mètres l’un de l’autre, les deux collèges publics Georges-Clemenceau et Roland-Dorgelès accueillent les adolescents du quartier. Certes voisins, ces établissements enseignent pourtant à des effectifs issus de milieux sociaux bien différents. Le premier, du côté de la Goutte d’Or, est classé REP +, et 54 % de ses élèves appartiennent à des professions et catégories socioprofesionnelles (PCS) défavorisées ; ils ne sont que 16 % dans le second (chiffres 2019-2020).

Extrait de leparisien.fr du 14.11.22

 

Pyrénées-Orientales : deux écoles de Perpignan affichent les indices sociaux les plus bas de toute la France métropolitaine

Pour la première fois, le ministère de l’Education nationale a publié les indices de position sociale (IPS) des écoles et des collèges français. Il évalue la situation sociale des élèves dans les établissements. Plus l’indice est élevé, plus l’élève évolue dans un contexte familial considéré comme favorable à la réussite scolaire. Les Pyrénées-Orientales sont marquées par d’importants écarts entre les établissements publics et privés quand deux écoles perpignanaises affichent l’IPS le plus bas de toute la France métropolitaine. Analyse complète de cette conjoncture avec Rémy Sirvent, secrétaire national du secteur laïcité, école et société du syndicat enseignant SE-Unsa et Nadia Alram, secrétaire départementale de SE-l’Unsa.

Extrait de lindependant.fr du 13.11.22

Note du QZ : L’article intégral de l’Indépendant publie la liste des 5 écoles de Perpignan qui ont l’indice le plus bas (entre 54,2 et 63,1). Relevons que 4 d’entr’elles sont en REP+ (Léon Blum (54,2), Victor Duruy (57,3), Jean Jaurès (61,6), Pont Neuf (63,1) et la cinquième (La Miranda (56,2) en REP.
Les responsables de l’Unsa interrogés sur ces chiffres précisent : "Les enfants de la communauté gitane sont les oubliés de la République. Sous couvert de fréquentation en dents de scie, ce qui est vrai, la Miranda n’a pas les mêmes moyens que les autres écoles. Il leur manque un poste plein d’enseignant, ce qui découle aussi d’un problème de dédoublement des classes."

P.-S.

urès,

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