En réponse à :
"il faut une cohérence du territoire", il faut "renforcer la priorité sur les zones les plus en difficulté" et "sortir du dispositif certains établissements qui ne présentent plus les caractéristiques qui justifiaient leur classement en éducation prioritaire". Rien de bien neuf sous le soleil de la politique d’éducation prioritaire mais un aveu : "On a toujours parlé de se recentrer sur les territoires les plus en difficulté mais en réalité à chaque fois, on a allongé la liste." Et de (...)