En réponse à :
[...] Jean-Yves Rochex avance plusieurs raisons à ces mauvais résultats. L’une est l’insuffisance des moyens engagés : « On a donné plus aux élèves de l’éducation prioritaire que ce qu’ils auraient eu sans ce label. Mais cela ne veut pas dire qu’on leur a donné plus qu’aux autres. » Notamment parce que les salaires sont le premier poste budgétaire en éducation : les enseignants les plus jeunes, donc ceux qui coûtent le moins, sont envoyés en éducation prioritaire.
Une deuxième raison (...)