En réponse à :
Les enseignants doivent-ils légitimement s’inquiéter d’une démarche qui heurte des traditions centralisatrices, qui invite à une autorité partagée, voire qui est susceptible de les déposséder d’une partie de leurs missions ? Doivent-ils au contraire se réjouir que de nouveaux partenaires viennent les aider et les compléter dans leurs tâches essentielles, et même se féliciter que l’éducation s’ouvre à de nouveaux lieux et temps d’apprentissage, à de nouveaux acteurs, à de nouvelles formes (...)