En réponse à :
La forme de lutte qui est utilisée depuis janvier en Seine-Saint-Denis, les occupations de nuit, me semble nouvelle et intelligente. Voilà un moyen d’attirer l’attention des médias sur des problèmes graves sans que les élèves en pâtissent. Surtout que les heures de cours que ces élèves n’auraient pas eues en cas de grève classique, leur auraient été bien plus préjudiciables qu’à des élèves socialement favorisés. Chacun a pu mesurer l’immense retombée en termes d’échec scolaire des mouvements de 1998-1999.
Au lieu de demander au gouvernement d’interdire ces occupations (je ne sais (...)