En réponse à :
Le gros problème, c’est qu’on n’envisage que de "répartir", bien ou moins bien, l’"excellence de l’enseignement" dans les territoires.
C’est se cantonner dans une logique de saupoudrage des enseignements d’excellence dans tel ou tel endroit.
Donc entériner l’idée qu’il est "normal" d’avoir selon les endroits un enseignement d’excellence, ou un enseignement de seconde zone.
Bref, l’enseignement à plusieurs vitesses, ça existe déjà, et on va continuer de plus belle.
Or c’est de cela que l’on crève !
Deux détails : outre que c’est fouler aux pieds l’égalité (après tout, ce n’est (...)