En réponse à :
[...] pointant ainsi les menaces qui pèsent sur un collège Camus et son trop faible effectif. C’est Michel Moly qui a défendu la charte, rappelant les "2 000 places libres sur Perpignan alors qu’il y a de plus en plus de collégiens en périphérie"
[...] Christian Bourquin précisait que le conseil général "ne gère pas les affectations d’effectifs, ce sont les parents, la Ville de Perpignan et l’académie via les dérogations qui le font.
Extrait de lindependant.com du 20.07.10 : Une (...)